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Vos cauchemars sont mes rêves

Tableau de bord

  • Premier article le 01/03/2014
  • Modérateur depuis le 02/05/2020
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Derniers commentaires




  • 1 vote
    medialter medialter 21 novembre 2013 17:41

    "Le fin de l’histoire donc ?"

    oui



  • 1 vote
    medialter medialter 21 novembre 2013 17:26

    "« des contre pouvoirs populaires puissants » !"

    Comme ???

    Les médias ?  smiley



  • 1 vote
    medialter medialter 21 novembre 2013 17:24

    Il n’ y a d’alternative que pour soi, pas pour la collectivité, largement composée de zombis, appelés à jouer leur rôle : crever lentement.



  • 4 votes
    medialter medialter 21 novembre 2013 16:59

    Autant l’analyse de Chouard est bonne - la constitution est écrite par et pour les élites, autant la conclusion relève de l’utopie. La société dont il parle qui pratiquait le tirage au sort n’a duré que 2 siècles, ce qui est que dalle. Elle fut écrasée par une guerriocratie. Si on devait mesurer le système politique à sa durée de vie dans l’histoire, il faudrait lui préférer Spartes, qui a duré 5 siècles, ou encore la théocratie brahmanique, qui a duré un millénaire. On voit qu’avec un tel critère on arrive à des délires, il faut donc d’abord s’entendre sur le choix du critère : Quelle société veut-on ? On ne peut pas faire l’économie de ce débat préliminaire.

    Ensuite, même s’il est vrai que le premier tirage au sort d’un groupe de glandus quelconques, même composé de tocards de banlieues, gouvernerait bien mieux que n’importe quel clown élu par le suffrage universel, on est loin d’être assurés que les décisions prises ne seraient pas à peine moins court-termistes que ce qu’on a l’habitude de voir, et qu’il n’y aurait pas une cruciale absence de vision à long terme. Car je suis désolé, mais dans le domaine de la recherche, par exemple, je vois mal une ménagère doublé d’un technicien de surface aptes à posséder une vision stratégique. Ne parlons même pas du domaine militaire.

    Enfin, rappelons l’essentiel : les élites ne gouvernent pas mal : ils gouvernent pour eux, et ça ils le font très bien. Même si le gladio n’existe plus, il a probablement son équivalent dans chaque pays, et sait parfaitement faire place nette quand des gêneurs comme Coluche ou Grossouvre viennent faire de l’ombre. Un peu de réalisme, les mecs, acceptez que vous êtes aux gnoufs depuis des lustres, et que les gugus de l’étage supérieur ont eu des siècles pour parfaire les verrouillages. C’est bien beau de gesticuler pour un monde meilleur, mais vos imbéciles de parents soixantehuitards qui pensaient refaire le monde ont en réalité jouer le jeu de leurs maîtres, et vous êtes entrain de faire pareil : toute velléité contestataire est une aubaine pour la matrice. Elle l’alimente au lieu de la fissurer.



  • 22 votes
    medialter medialter 21 novembre 2013 10:59

    Piero San Giorgio, qui exploite le créneau de la fin du monde, du fin fond de sa Suisse, est si courageux qu’il utilise ce pseudo pour masquer sa véritable identité. Des choses à cacher, Mr Giorgio ? Une petite fortune familiale ayant permis un achat immobilier se prêtant à rouler des mécaniques avec cette bonne brioche abdominale d’amateur gastronome devant des spectateurs qui sont plutôt du style à ramer ?

    Après qu’il ait témoigné sa soumission à Israël, on comprend mieux ses rapports au libéralisme : fier d’être résident de ce grand pays qu’est la Suisse, il a certainement oublié de lire Jean Ziegler, oublié quelle est l’origine de la fortune de ce pays durant les heures sombres de notre histoire, oublié que cette contrée du gruyère est aussi le siège de la banque centrale des banques centrales, la BRI, où siègent des gens comme Ben Bernanke ou Mario Draghi.

    C’est sûr qu’étant membre d’un pays dont les habitants ne doivent leur niveau de vie qu’à l’orchestration mondiale des bulles financières, il peut en donner des leçons de morale sur la déliquescence de la civilisation.

    Sacré Piero, tu nous refais encore ton sketch du potager, de tes montagnes suisses, pays qui, comme par hasard, arrive toujours à échapper aux guerres, grâce à "une neutralité au service de la paix" smiley

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