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Maldoror

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  • Premier article le 16/11/2009
  • Modérateur depuis le 03/02/2010
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Derniers commentaires




  • 11 votes
    Maldoror Maldoror 16 juin 2010 13:02

    Le FMI, la commission et les financiers anglo-américains prennent les commandes en Europe.

    Contre l’ ?urodictature :
    http://www.amazon.fr/Contre-l-%E2%8...



  • 2 votes
    Maldoror Maldoror 12 juin 2010 00:23

    DES FRAN



  • 1 vote
    Maldoror Maldoror 24 mai 2010 20:49

    Après la démocratie :

    "Lorsqu’Edouard Balladur expliquait il y a quelques mois qu’« Il est souhaitable que l’Eurogroupe, qui rassemble les ministres des Finances des seize membres de la zone, reçoive le pouvoir d’approuver les projets de budget élaborés par les gouvernements avant que ceux-ci ne soient soumis à leurs Parlements respectifs », il semblait bien que l’on ne pouvait pas faire mieux pour définitivement enterrer les gouvernements nationaux et le peuple qu’ils sont censés représenter.

    Que nenni ! C’était sans compter sur le ministre des Finances allemand, Wolfgang Schäuble, et Jacques Attali.

    Le ministre d’Angela Merkel, lors d’une réunion de l’Eurogroupe du 21 mai, aurait en effet demandé que cet examen des budgets nationaux ne se fasse pas par le regroupement des ministres des Finances, mais par la Banque centrale européenne ou un « cercle d’instituts de recherche indépendants », c’est-à-dire, par des institutions explicitement non-élues et indépendantes du pouvoir politique !

    Dans la même veine, Jacques Attali, dans un entretien avec Le Nouvel Observateur, explique que l’alternative à la faillite et à la rigueur passe par la création d’« une agence européenne du Trésor qui émettrait les emprunts à la place des



  • 4 votes
    Maldoror Maldoror 12 mai 2010 14:41

    "Le plan européen de 750 milliards d’euros de soutien aux économies en difficulté de la zone euro n’est qu’une nouvelle étape, logique, sur la route sans fin de l’euro à tout prix.

    Puisque les dirigeants européens refusent de regarder le problème en face, et ce problème s’appelle monnaie unique, ils sont contraints de payer toujours plus cher pour espérer maintenir le statu quo. Chaque jour, les marchés font augmenter l’addition de l’euro, monnaie à laquelle ils ne croient plus, et chaque jour les gouvernements acceptent d’aligner les milliards correspondants.

    L’Euro à tout prix
    « L’accord prouve que nous défendrons l’euro quoi qu’il en coûte », a commenté hier le commissaire européen aux Affaires monétaires Olli Rehn. En voilà un qui a au moins le mérite d’être

    honnête.
    Le maintien de la Grèce dans l’euro a déjà coûté 110 milliards d’euros, que le peuple grec, seul variable d’ajustement dans un système où on refuse de toucher à la monnaie, devra rembourser, au prix d’une fonte de ses revenus de 15 à 20%. ??Pour le Portugal et l’Espagne, les eurocrates ont déjà provisionné plusieurs centaines de milliards, et nul ne sait comment une défaillance de l’Italie, ou de la France, pourrait être financée...


    Quoi qu’il en soit, la fuite en avant s’accélère. Des Etats déjà tous largement endettés sortent par miracle de nouveaux milliards, accélérant en réalité la diffusion à toute la zone d’une crise majeure de la dette. Partout, on voit poindre des plans de rigueur, pour les plus résistants, quand les plus mal en point sont déjà passés à la moulinette du FMI : restriction massive des dépenses publiques, politiques récessives, explosion de la précarité.


    Rapidement, le continent s’appauvrit, se tiers-mondise pour dire les choses clairement, emmené par une caste de dirigeants incapables de remettre en cause l’objet de 50 ans d’idéologie européiste maladive.
     
    Ce sont bien en effet au final les peuples qui sont sacrifiés dans cette vaste tentative de sauvetage de la monnaie européenne. Eux qui sortent déjà de 15 ans de sous-croissance, la plus faible du monde, doivent désormais subir les politiques dévastatrices de gouvernements affolés par la perspective de voir le château de carte européiste s’écrouler.


    Les peuples européens doivent savoir que les secousses ne sont pas terminées. Manifestement décidés à ne pas lâcher l’euro, leurs dirigeants fanatisés sont prêts à sacrifier leur bien-être et leur prospérité, pourvu que l’euro soit sauvé !
    Les Européens pourraient se déplacer en roulotte et souffrir la disette, peu importe. Tant qu’il y aura un petit roi à Bruxelles qui pourra se réjouir d’avoir sauvé le veau d’or, l’euro, alors tout ira bien !"
    http://www.marianne2.fr/Faut-il-sau...



  • 1 vote
    Maldoror Maldoror 11 mai 2010 13:12

    Domenach est un insupportable oui-ouiste, aveugle et dogmatique, qui ne s’embarrasse pas de l’avis des peuples tout en invoquant la défense de la démocratie.

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