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iakin

Se construire à l’opposé des gens que l’on méprise ne vaut pas mieux qu’imiter les personnes qui nous dominent. L’anti-conformiste est un conformiste qui s’ignore.

Tableau de bord

  • Premier article le 24/02/2011
  • Modérateur depuis le 18/04/2011
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Derniers commentaires




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    iakin 25 février 2011 20:10

    Vous pourriez nous expliquer ce que vous entendez par là ?



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    iakin 25 février 2011 20:03

    Il y a eu effectivement une énorme propagande mensongère concernant l’euro, mais en Suède comme ailleurs. Et ce n’est pas étonnant que les prévisions catastrophiques des européistes ne se soient pas réalisées...

    Mais ce n’est pas de ça dont je parle, ça n’a rien à voir. Je me pose la question à savoir si, pour mettre en place une véritable politique socialiste en France (intervention de l’État dans l’économie, taxations des revenus sur le capital, hausse des minimums sociaux, développement de services publics gratuits, restructuration de la dette, etc) il y a des avantages à être dans l’UE ou s’il vaut mieux en sortir et revenir au franc.

    La Suède, son refus de l’euro et sa croissance économique, n’ont pas grand chose à faire là dedans... depuis la crise qu’ils ont subi dans les années 90 ils font des coupes dans les dépenses publiques, revoient les prestations sociales à la baisse, et depuis 2006 les sociaux-démocrates ont même perdu leur hégémonie, la droite gagnant les élections de 2006 et 2010. Ils sont donc bien dans une logique "d’austérité" économique et de recherche de croissance pour payer leur dette publique, comme un peu partout dans le monde.

    D’ailleurs, concernant la dette publique, ce n’est pas la possibilité d’emprunter à taux zéro qui va la faire disparaitre, cela nous permettrait seulement d’éviter qu’elle augmente.
    La solution que propose le Parti de Gauche c’est de faire défaut, c’est à dire de ne pas payer pour pousser les prêteurs à revoir notre dette largement à la baisse. Dans un contexte de tension pareil face aux banques, ce n’est pas sûr que revenir au franc soit une bonne idée. D’ailleurs le PG a donné plusieurs conférences "Gouverner face aux banques", visible sur dailymotion, et que je n’ai pas encore regardé, ce que je vais faire d’ici peu ; )



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    iakin 22 février 2011 19:13

    @ arthur
    J’ai visionné plusieurs vidéos de ses conférences et me suis déjà un peu intéressé à ce qu’il dit. J’y ai trouvé beaucoup de choses intéressantes, mais de là à dire qu’il ne verse pas dans l’émotionnel... avec ses citations chinoises, ses diaporamas aux dessins anxiogènes, et sa manière de mettre tout le monde dans le panier... faut pas exagérer non plus.
    A propos de la souveraineté républicaine par exemple, les conférences d’Henri Pena-Ruiz sont, je trouve, bien plus pointues et éclairantes.

    @ gazatouslesetages
    A propos de l’euro, de l’UE, du traité de Lisbonne, tout ça se discute, comme on le fait d’ailleurs sur l’autre article.
    Mais ce que reproche Asselineau à Mélenchon, ce n’est pas vraiment ça, il lui reproche d’être, comme Marine Le Pen, un "agent du système" qui va permettre l’élection de DSK. Et là j’aimerais bien que l’on m’explique comment ce que fait Mélenchon facilite les choses à DSK ?



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    iakin 22 février 2011 19:01

    Je crois que vous ne comprenez pas bien ce qu’est la laïcité pour dire des choses pareilles.
    Sans laïcité, c’est la porte ouverte aux subventions d’Etat pour les groupes d’influence religieux et communautariste. Les gouvernements, dans une logique électoraliste, n’auront alors plus aucune raison de s’en priver.



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    iakin 22 février 2011 18:54

    Les marchés ont tendance à s’attaquer à des nations ou des structures dans lesquelles ils percoivent des failles politiques. Les libéraux les considèrent même un peu comme l’oracle de Delphes, quand les marchés s’en prennent aux matières premières ils l’interprètent comme une défaillance de la politique agricole... quand ils spéculent sur la dette d’un pays ils le comprennent comme une faiblesse du gouvernement.
    Mais ces failles, ou plutôt ce qu’ils considèrent comme des failles, ce sont souvent des mécanismes qui s’opposent à la dérégularisation des marchés financiers, et qu’ils leurs feraient gagner beaucoup d’argent de les briser.

    Je ne sais pas ce qu’il en est de la Suède (nous n’avez pas de sources à me proposer ?), mais en ce qui concerne la France si celle-ci se dote d’un gouvernement qui cherche un moyen de taxer les revenus sur le capital, c’est évident qu’il se verra subir des attaques spéculatives qui pousseront à l’y faire renoncer.
    Plus on discute et plus je me dis que vouloir revenir au franc, ce qui nous rendrait plus sensible aux variations des marchés (je pense qu’on serait d’accord là-dessus), est bien la preuve pour un parti politique de son absence de volonté de taxer le capital à hauteur du travail. Et donc de croire pouvoir régler nos déficits par de nouvelles politiques de rigueur ou des taxes qui touchent toute la population.

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