VOilà, vox populi, tu tombes dans le panneau d’un trol. Regarde bien, Bernardo n’existe pas. Le titre est volontairement provocateur pour que toi et moi on se déchire en place publique, qu’on s’étripe sur une dizaine d’échange, ça crée de la valeur pour le site, et le bernardo empoche son petit chèque au nombre de commentaire supplémentaire par rapport à une moyenne. Disons 8 euros par trolage.