Obsédés
par l’incapacité de Marine Le Pen à détester publiquement son père indigne, ces
filles et garçons de vingt ans ne voient pas que l’extrême droite (au moins
dans le domaine de l’économie et la gestion, leur spécialité) est aujourd’hui à la présidence
et au gouvernement de la France.
Mais
il y a pire : ils répètent bêtement les slogans de leurs parents et grands-parents
(qui étaient justement attribués en leur temps) et ne voient pas où ont glissé,
aujourd’hui, les propos "ouvertement xénophobes, racistes, négationnistes
et antisémites".