Analyse psycho dramatique de Jean Robin des foins
Il était une fois un nain, qui voulait être remarqué par un géant, au début le nain fit mille et un petits appels au géant, dans l’espoir que celui ci le remarque enfin. Mais le géant n’entendait pas le minuscule nain, car les cris du nain ne lui parvenaient pas à ses hautes oreilles. Alors le nain se mit à taper le géant de toutes ses forces au dessous de la ceinture, dans l’espoir que le géant le considère enfin.
Le géant sentant une légère démangeaison piquante entre ses fesses, s’assis lourdement sur son trône de pierre, fit un léger mouvement du cul, en avant en arrière, écrasant ainsi, sans même s’en apercevoir, le nain, dont il ne reste qu’une minuscule tache rougeâtre sur le tissus du géant.
La morale de cette histoire, c’est : rappellez vous Jean-Pierre Petit, ad vitam eternam, c’est le baygon vert efficace pour les rampants tenaces comme Robin....