Il a raison, Chonchon, pour une fois : les illusions ne meurent jamais. Parce que qu’est-ce que c’était Chavez ?

Pour le savoir, il suffit de le vouloir : un type qui a, généreusement, distribué une partie des royalties du pétrole de son pays, mais sans rien investir pour développer les productions nationales et modifier le tissu économique sous-développé du Venezuela, c’est-à-dire sans se soucier de préparer un vértiable avenir pour son peuple.

Il n’a rien fait non plus sur le plan de la sécurité et le Venezuela reste un des pays les plus criminogènes du monde, avec plus de 50 homicides par tranche de 100’000 habitants (Etats-Unis, 4 ; France, 1).

Certains parlent aussi de corruption galopante, mais c’est injuste : le régime politique n’y est pour rien. Il y a des pays où le phénomène fait partie de l’identité nationale, le Venezuela est de ceux-là.