Ce n’est pas la travail qui est source de richesse à l’heure actuelle, mais l’exploitation du travail des autres. Un ouvrier qui travail à la chaîne va passer des heures à effectuer des tâches ingrates demandant bien plus d’effort et de motivation qu’un type qu’on paiera 1 million pour mettre en place un plan de licenciement dans une multinationale. Je ne parle même pas des plus riches qui sont dans les business liés à la spéculation sur les matières premières ou à l’achat/revente de produits type pantalon à une jambe. Ceux là ne font que développer un réseau (auquel ils ont accès parce qu’ils sont bien nés) et passer des coup de fil. Ouah ! Quels efforts, ils méritent bien leur gros salaire ! (sic)

En outre, en tant que chef d’entreprise, je peux témoigner que ceux qui réussissent le mieux sont ceux qui n’ont aucun scrupule pour entuber tout le monde : leurs partenaires, le FISC et même leurs clients. Les chauffards de l’entreprendrait sont une véritable plaie pour les PME, Sarkozy leur ayant bien facilité la tâche en leur permettant encore plus facilement de couler leur précédente boîte pour en remonter une autre aussi sec sans avoir a payer leurs dettes...

Ce type venu de Chine nous prouve une chose : que le patronat est le même partout : bien pourri en ommetant de parler des conditions de travail quasi esclavagistes (cf. les salariés de Foxcom qui se suicident avant d’être remplacés par des robots), et complètement illogique en prônant l’augmentation du temps de travail par individu alors que grâce au progrès technologique, la productivité augmente et que donc à terme, un homme pourra faire le travail de dizaines dans le passé : il n’y aura donc plus jamais de travail pour tout le monde si on ne baisse pas la durée du travail étant donné que nous sommes dans un monde limité en ressources : la Terre.

Mais je ne me fais pas d’illusion, ce Chinois au MEDEF sait très bien que ce qu’il raconte c’est de la merde, mais comme il est millionnaire il défend son camp !