Quand on voit la madone Ockrent, dégoulinante de bienpensance et archi-formatée bobo jusqu’à l’os, on se croirait dans l’ancien régime de poudrés-perruqués exprimant leur mépris pour le bas-peuple.
Quant à Bernard Guetta, c’est une caricature ! Vraiment ils font la paire.
Plus ils sont contrariés par l’expression démocratique qui contrevient à leurs bonnes manières, plus ils se prennent des airs pincés et hautains pour dire leur dégoût, avec un arrogance de classe ahurissante, toute auréolée d’une pseudo-culture d’élitisme convenant et de politiquement correct des salons de rédaction où l’on cause.
Mais pour qui se prennent-ils ces quidams ?! Des ringards à qui le système a trop tartiné les biscottes aux petits-déjeuners du pouvoirs et qui ne se rendent pas compte qu’ils sont obsolètes.