Mais le sionisme était condamné à échouer, pour des raisons
évidences : dans une culrure métaphysiquement centrée sur
une idéologie de l’exil, la dernière chose à laquelle on puisse
s’attendre est un retour au bercail réussi. Dans le but de
réaliser sa promesse, le sionisme devait se libérer de l’idéologie
juive de l’exil, et de la religion de l’Holocausce. Mais il n’a pas
réussi à le faire. Pétri jusqu’à la moelle de l’idéologie de l’ exil,
le sionisme se mit à nuire aux Palestiniens pour conserver son
bsession de l’identité juive. (Quel juif errant ?)