Ces hommes sont les virtuoses du vent mais pauvre est la musique.
Quand je pense qu’une taxe de 1 % des mouvements quotidiens de toutes les bourses suffiraient à multiplier par deux le revenu de trois milliards d’humains du monde entier qui en souffre...
Voulez que je vous dise, j’irai bruler un billet sur votre tombe.