Éclairage tout à fait intéressant.
Ce qui m’étonnera toujours, ce sont les pro-avortement qui ne supportent de voir ces images ou les anti-avortement qui réclament des évolutions dans les délais ou dans les conditions d’application (comme si l’on pouvait négocier les conditions d’un infanticide)
Je pense sincèrement que ni les uns ni les autres ne sont allés au bout des conséquences de leur réflexion car ces dernières sont assez dures à porter. Ceci est surement dû au fait que nous vivons dans le règne de l’image et nous avons tendance à mesurer la gravité d’un acte, non pas en fonction de sa portée objective mais en fonction de la représentation que l’on s’en fait (forcément relative et subjective).
Du coup, pour l’avortement, plus ça "ressemble" à un bébé, plus c’est difficile à accepter.