Oui, on les voit venir à trois miles avec leur révélations fracassantes et leur dissimulations du gouvernement américain...
Les sauveteurs abandonnés à leur sort, les tours mal équipées, mal entretenues, rongées par l’amiante, les systèmes incendies défficients, l’avidité traidtionnelle du constructeur qui voulait faire des économies, les financiers obscurs qui nont pas fait les efforts, etc.
La faute retombe sur les anonymes d’un système qui nourrit quelques goinfres un peu cyniques.
Et point barre. Cette musique là est tellement connue qu’elle pourrait servir de musique d’ambiance dans un ascenseur.