"depuis que je m’intéresse à la permaculture je m’aperçois que la plupart
des " experts " et des " formateurs " vivent du monnayage de leurs
savoir-faire, et non pas de leurs productions, souvent réduites à un
échantillonnage de 2 ou 3 ares d’arbustifs exotiques pour étonner la
galerie des bobos en stage à la cambrousse. Pas de quoi nourrir son
homme"
C’est exactement ça !