Sur son chalutier, du fait que ses marins venaient de différents pays ( Philippines/Malaysie/Indonésie ), alors qu’il pêchait dans les eaux bretonnes, Erwa ne doutait pas une seconde qu’il pourrait hisser le drapeau américain sur son mat.
Torpillé par un sous-marin chinois guidé par un satellite russe, Il n’acceptera jamais ce coulage. Il maintiendra ses relations avec Washington, via une antique éolienne, qui lui permet d’envoyer des messages SOS. Pour lui, il s’agit de sauver l’Europe de la main-mise communiste. Il pense sur son ilot, habité par deux chèvres, trois poules et sa maman, hérité d’un baron vendéen, qu’il peut empêcher le projet eurasiatique.