en 41 minutes, j’imagine ce qu’un journaliste inspiré aurait pu faire en interrogeant ceux qui accordent des subventions à cette activité... en les harcelant, en leur demandant doù ils tirent la légitimité de leurs choix ... etc ...
Car, dans le fond, se moquer d’une oeuvre, d’un artiste, d’un galeriste, qui n’y sont pour rien en s’auto-accusant faussement d’être réac, c’est de l’enfumage et du remplissage.