Au final ces policiers ne sont pas à la fête non plus ; la protection de cette engeance sordide ne doit pas spécialement faire l’unanimité au sein de leurs rangs.
Et les voilà tout autant impuissants que ceux en charge de la surveillance laborieuse, voire impossible, des envahisseurs de Calais, curieusement (également) exemptés des rigueurs de la loi.
Comment en est on arrivé à un tel dévoiement de la raison ?