Je reste toujours déçu qu’on explique encore aujourd’hui l’atome à partir des nucléons. C’est Reeves dans Patience dans l’azur qui m’a fait découvrir les quarks et le principe des contraires à la fabrication de la matière.
Les quarks U (Up) ont une charge électrique fractionnée de +2/3
Les quarks D (Down) ont une charge électrique fractionnée de -1/3
Les nucléons (protons et neutrons) contiennent toujours 3 quarks. Chacun des nucléons ayant des U (+2/3) et des D (-1/3). Ce sont les charges inversées contenues dans chacun des nucléons qui font la cohésion de l’atome, comme des aimants.
le "neutron" n’est pas "neutre" (fausse représentation, à rejeter) , mais maintenu par l’équilibre des charges contraires : 1 quark U (+2/3) et 2 quarks D (-1/3), ils font un jeu à somme nulle qui maintient la cohésion du nucléon.
Le proton, a deux quarks U et un quark D est aussi retenu grâce aux charges contraires, mais avec un reste de charge à +1. Ce supplément étant à son tour contrebalancé par son électron à charge -1.
Le "neutron" est bien plus solide que le proton : il sert de projectile en réaction nucléaire pour casser les atomes (fission), alors que le proton est plus "vulnérable" et va se recombiner pour refaire des atomes (fusion).
C’est le principe du ying/yang, avec les deux petits ronds dans chacun des deux éléments. Sinon, ces deux éléments seraient indifférents l’un à l’autre et ne s’attireraient pas.
C’est le principe du contraire, ou du développement par compensation contraire, qui a fait la fertilité de l’univers. En tout cas la lecture de ce livre m’a fait passer d’un avant où ’je ne comprenais rien" à un après où "je comprends tout", qui m’a donné l’outil me permettant de ranger les connaissances les unes dans les autres, au lieu de les empiler pour besoins de bachotage.
On sait aussi que la matière a aussi son antimatière, qui étaient à l’équilibre avant le big bang, et maintenant la matière puisant dans l’antimatière.
Des spéculations et recherches physiques sont menées pour l’hypothèse logique d’une anti-gravitation à la gravitation.
Le principe du contraire peut être étendu pour comprendre la fertilité de l’entropie (la negentropie) et les lois de la biologie.