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PFIZE®bubu / 2 février 2022 Concernant les femmes enceintes, la littérature sur le sujet est de plus en plus étoffée et il n’y a aucun problème à se faire vacciner pour les femmes enceintes, au contraire puisqu’elle sont très à risque de complications graves du covid.

PFIZE®bubu / 1er avril 2023 oui il n’y a toujours pas de problème, c’est con hein  ? 

1 . Le taux normal de fausses couches dans une population en bonne santé est de l’ordre de 5 à 6 %. Pendant des années, des études ont présenté de manière erronée des taux de 15 à 20 % afin que, lorsque de nouveaux médicaments sont testés pendant la grossesse, un doublement du taux de fausses couches passe inaperçu.

C’est ainsi que le vaccin COVID a pu être vendu comme "sûr pendant la grossesse" alors qu’il était loin de l’être. Cet article montre comment les données ont été déformées par le CDC et d’autres organismes pour étouffer le scandale.

2. Ce qui s’est passé avec les données du HES britannique, c’est qu’en 2020, pendant le "COVID", les médecins ont reçu l’instruction de traiter les fausses couches et les avortements en dehors de l’hôpital. Le nombre d’"avortements spontanés" enregistrés à l’hôpital a donc diminué, ce qui rend les comparaisons difficiles. Cependant, il est certain qu’il y a eu une augmentation d’environ 5 % entre 2021 et 2022. 

3. Les fausses couches de la thalidomide

Toute augmentation du taux de fausses couches est un signal d’alarme massif en cas d’anomalies congénitales graves.

Bien que les chiffres ne soient pas facilement accessibles, on estime que deux millions de femmes ont pris de la thalidomide dans le monde et que le Royaume-Uni a compté environ un dixième des bébés affectés dans le monde, soit 2000 victimes. Pour cette population, on estime qu’il y a eu 6 000 fausses couches supplémentaires, soit 3 %.

Le médicament le plus tératogène de l’histoire n’a entraîné qu’une augmentation de 3 % du risque de fausse couche, alors que les thérapies "sûres et efficaces" (c’est-à-dire "jamais testées") à base d’ARNm-LNP affichent une augmentation de 6 % des taux bruts de fausse couche, soit plus du double de ce que l’on a observé avec la thalidomide. 

4. Le vaccin de Pfizer : les tests sur les animaux ont montré un doublement des pertes pré-implantatoires.

Et devinez ce qui se passe lorsque vous traitez les petits animaux à fourrure avec de la thalidomide ? Curieusement, ils ne perdent pas de membres. Ce qui se passe, c’est exactement ce qui s’est passé dans l’étude de Pfizer : le nombre de pertes préimplantatoires ("résorptions précoces" dans le tableau ci-dessous) augmente, avec une légère réduction du nombre total de fœtus vivants.

Voici une étude sur la thalidomide chez le lapin qui montre exactement ce phénomène : Effects of thalidomide on reproductive function and early embryonic development in male and female New Zealand white rabbits

La TGA disposait d’informations dans des rapports précliniques faisant état d’une augmentation des pertes préimplantatoires dans les études animales. L’augmentation constatée était du même ordre de grandeur que celle observée dans les études sur la thalidomide chez l’animal.

Bien que la thalidomide soit célèbre pour les anomalies des membres des bébés qui ont survécu, on a également constaté une légère augmentation des fausses couches, ce qui aurait dû être un signal d’alarme pour la tératogénicité (toxicité pour le fœtus).

L’augmentation du nombre de fausses couches observée avec les vaccins COVID à ARNm est plus importante que celle observée avec la thalidomide.

La TGA, la MHRA, la FDA, l’EMA et les collèges d’obstétrique disposaient de toutes ces informations et les ont non seulement ignorées, mais ont veillé à ce que ceux qui ont tiré la sonnette d’alarme soient étouffés par des attaques coordonnées sur les médias sociaux.

CONCLUSION

Il n’est non toxique que si vous commettez un génocide de masse. Il n’est "sûr et efficace" que pour ceux qui commettent les meurtres.

Heil Μπουρλά !