@Gaspard Delanuit
"les consciences sont placées en deçà de la décohérence quantique
-Je ne pense justement pas cela —"
Au temps pour moi, puisque c’est la suite de votre commentaire qui vous ressemble plutôt. On est cohérent où on retourne se coucher.
"nous sommes illusionnés. Avec notre complicité plus ou moins consciente, ou notre consentement obscur".
Ne sommes nous pas là sur ces différents niveaux : conscient/inconscient/ inconscient plus lointain permettant de parler de subconscient/encore d’autres ... C’est une question de vocabulaire, mais ont déjà été repérés des états différents.
De même au niveau de la représentation collective, les ponts entre place individualisées, peuvent être plus ou moins large, selon l’étage de "perception" où on se trouve. Ce que nous appelerons conscient, étant l’étage du bas, celui où on est le plus hypnotisé par la lumière du film, et si concerné (ce qui est heureux pour l’incarnation normale), qu’on en oublie de regarder ailleurs. Faisons gaffe avec les métaphores parce qu’on peut en broder de la tapisserie au kilomètre sinon.
Mais pour en revenir au scénario du film, et qu’est-ce qui vibre, on pourra regarder dans l’absolu, quelles sont les conditions minimums pour qu’un point vibre. Il doit falloir une dimension de temps, pour la fréquence, et une dimension de déformation autour d’une position d’équilibre.
A partir de 2 dimensions, ça doit pouvoir vibrer, mais je sais pas à quoi ça ressemble, et pire, si une des 2 n’était plus la dimension temps.
Plus on aura de dimensions, plus la baguette de magie, les stripteaseuses, et les éléphants vont faire de tours en même temps sur la piste, y compris si certaines dimensions sont sous-jacentes, et donc invisibles, ou imperceptibles à notre conscient, dont on soupçonne déjà, qu’il a la vision d’un lapin myxomatosé qui fait de l’apnée dans de la purée de pois, et qui en est satisfait.