Merci à ceux qui ont permis la
publication de l’article.
Depuis que je l’ai écrit et penser
j’ai réalisé que l’arme utilisée par William Greer ne pouvait pas
être une arme conventionnelle ou habituelle à balles par exemple.
Une balle n’arrache pas le crane d’une personne.
De nombreux internautes fournissent des vidéos les sites youtubes des deux dernières vidéos de l’article sont un florilège.
Sur Qora j’ai trouvé ce commentaire :
https://fr.quora.com/Pensez-vous-que-LEE-HARLEY-OSWALD-a-tu%C3%A9-JFK-avec-sa-vieille-carabine-et-a-une-telle-distance
Karl Brun
Connaissances : ItalienL’auteur a 101
réponses et 95,9 k vues de réponse4 janv.
Il n’y a aucune certitude qu’Oswald
soit l’assassin ; les enquêtes indépendantes ont montré qu’il ne
pouvait pas se trouver au poste de tir car les employés du bâtiment
l’auraient forcément vu descendre les escaliers.
Par ailleurs, les mêmes enquêtes ont
montré que les services américains (FBI, CIA et militaires) ont
falsifié l’autopsie, reprise plus tard par le rapport Warren, qui
est totalement faux.
L’autopsie indique qu’il n’y a eu
qu’une seule balle, mais en réalité JFK a reçu deux balles, dont
une à l’arrière de l’épaule droite et une à la tête.
Les images de l’attaque (la version non
censurée) sont très claires sur ces sujets, on voit JFK se pencher
violemment en avant à cause de l’impact de la première balle dans
l’épaule, et tout après pencher la tête violemment en arrière
avec de grand projections visibles en l’air du cerveau, au moment où
il a reçu la balle frontale.
Il y avait donc au moins deux tireurs,
un derrière la voiture et un devant la voiture. Peut-être qu’il y a
eu un troisième coup de feu qui ne l’a pas touché.
Les conclusions des enquêtes
indépendantes affirment qu’Oswald est innocent, et c’est pourquoi
les services américains ont décidé de l’assassiner avant le
procès, car il n’y avait pas suffisamment de preuves pour le
condamner devant le tribunal.
Il s’agissait d’une conspiration
interne des plus hautes hiérarchies et services militaires des
États-Unis, de la CIA et du FBI, car tout le monde n’était pas
satisfait de JFK.
L’armée voulait mener une frappe
nucléaire préventive contre l’URSS, envahir Cuba et larguer une
bombe atomique sur le Vietnam, mais JFK a négocié un accord de bon
vivre ensemble avec l’URSS, a refusé d’envoyer des troupes
américaines à Cuba et a refusé de nucléariser le Vietnam.
La CIA voulait poursuivre ses
interventions auprès des gouvernements du tiers monde, mais JFK s’y
opposa et fit tout pour les empêcher, notamment au Congo (ex-belge)
où s’est produite la sécession du Katanga soutenue par la CIA et
les Belges.
Le FBI a contribué au développement
du complot et aux actions ultérieures visant à dissimuler les faits
et à orienter les conclusions de la Commission Warren.