@basile
Dans le Game of Throne du Niouw Ouorld Ordeur, sont en lice :
L’historique : Etat profond US, son monde unipolaire, la Russie étant l’ennemi à sa thalassocratie, la pièce de puzzle essentielle à la création de l’Eurasie (the Great Game). Trump veut rétablir la Pax Américana de Roosevelt, par l’archéoconservatisme, cherchant un nouveau modus vivendi avec les puissances régionales du monde, pour contrer le multilatéralisme et ses BRICS, l’UE n’en faisant plus partie.
Le neconservatisme sioniste, créé par l’American Jewish Committee, (voir Wiki sur l’idéologie et l’organisation) que JFK voulait classer comme agent de l’étranger avant de mourir. A noter que ce sont des juifs d’origines trotskistes qui ont créé cette doctrine, ayant su greffer capitalisme et sociétalisme (ou progressisme, wokisme, LGBT, migrations…). C’est le muscle Américain pour le cerveau Israélien, ce que confirment des Wesley Clark, Jeffrey Sachs (ascendances juives) et même RFK Jr quelques semaines avant (ou juste après ?) la réélection de Trump. Doctrine pour la destruction des Etats-Nations, hormis Israël (Jérusalem, capitale mondiale, coucou Attali...) et les Tasunis, la Russie nationaliste étant un obstacle parmi d’autres. C’est sans doute le prétendant le plus sérieux, mais que sa trop forte visibilité depuis la guerre contre la Palestine fragilise. Trump lui a fait pleine allégeance, mais a la capacité à trahir (les nouvelles stars médiatiques trumpistes, Joe Rogan, Tucker Carlson, Candace Owens commencent à montrer l’éléphant dans la pièce).
L’oligarchie mondiale (multinationales, + banques + fonds de pensions) équivalente à la Guilde des Marchands de Herbert ou Lucas ou Compagnie de Commerce Intergalactique d’Asimov. L’oligarchie a opportunément saisi le progressisme néoconservateur (mal nommé, votre « progressomondialisme » est mieux choisi) pour imposer sa gouvernance mondiale à la place des nations : la Russie toujours du mauvais côté du manche.
C’est un jeu d’influences, de forces, un théâtre d’ombres, avec ses alliances, guerres, trahisons, et rapports incestueux.
Il faut ajouter un outsider : l’islam, depuis les pétromonarchies, celui de la restauration ottomane d’Erdogan semblant s’évaporer en songe creux. La Russie étant une pièce neutre dans le jeu et l’UE, la proie en cours de dépouillement.
L’UE s’étant déjà vassalisée à ces quatre prétendants, elle s’accroche sans doute à l’oligarchie depuis que Trump redistribue les cartes, mais tombera de sa monture, n’ayant plus le poids économique ni le crédibilité géopolitique pour lui servir.