@micnet
Vos explications sont limpides. Votre comprenotte n’est pas abîmée comme celle de yoa par ses frustrations sexuelles ou masculines avec ses jeters de femelles qui pourrissent les échanges.
Pour compléter, voici maintenant la définition de l’empire par le même Petit Larousse :
1. Régime autoritaire de type monarchique ou césariste, dans lequel le pouvoir est détenu par un empereur.
2. État ou ensemble d’États soumis à un tel régime.
3. Grand ensemble de pays dépendant d’une même autorité, que celle-ci soit exercée par un empereur ou non : Un vaste empire colonial.
Je reviens ainsi à mon interpellation d’origine : si Hitler a envahi l’Europe, ce n’est pas en raison de son nationalisme, mais de son impérialisme. C’est le nationalisme des pays conquis et voisins ayant détruit le nouveau Reich qui est l’antidote à l’impérialisme.
Assimiler l’impérialisme au nationalisme, comme on l’a appris à l’école, est une malfaçon de pensée qui ne peut qu’effacer la souveraineté nécessaire à l’existence d’une nation.
"Le nationalisme c’est la guerre" était une déclaration normale pour le vichyssois Mitterrand, qui n’avait plus à craindre du nationalisme de de Gaulle pour détruire son oxymore. Et la preuve par de Gaulle qui a libéré la France est qu’il a aussi libéré tous les pays d’Afrique à leurs aspirations nationalistes, pas simplement l’Algérie. Ce que n’a pas fait la gauche, incarnée à l’époque par les radsocs, qui était au pouvoir durant les 12 ans de IVème république, toute à ses valeurs affichées d’universalisme et d’apport de civilisation.
J’ajoute, en chaussant ces lunettes gauche/droite qui ne sont pas les miennes, que c’est pourtant la gauche et son "Vive la Nation" qui a créé le nationalisme en France contre les tenants du royaume et de l’Ancien Régime. Mais cette gauche, avec son mantra du progressisme à la recherche permanente de nouvelles valeurs, rejette au fur à mesure les anciennes qu’elle a défendues, alors que les effets de celles-ci ne changent pas.