Autre péché impardonnable Onfray critique l’Islam :
"Dans la logique communautaire qui inclut et exclut, on sait trop peu que le signe distinctif jaune - un turban parfois – à porter sur son vêtement est d’abord une décision d’un calife de Bagdad auXIe siècle – on parle habituellement d’âge d’or de l’islam pour caractériser cette période... – qui souhaitait distinguer le juif et le chrétien par un signe devenu très vite infamant.
Les musulmans disposent d’un concept - la « dhimmitude » - pour nommer ce qu’ils présentent comme une charte de protection du non-musulman sur terre d’islam, pourvu que le sujet soit tout de même de la religion du Livre - avec dérogation pour le zoroastrisme. Théoriquement, l’islam passe pour une religion de paix et de tolérance. Dans les faits, la dhimmitude suppose un impôt, une taxe prélevée sur le juif, le chrétien ou le zoroastrien pour lui permettre de vivre sur une terre d’islam. Une rançon, donc, une extorsion de fonds.
Cette protection (!) acquise, les dhimmis voient leurs droits civiques réduits à pas grand-chose. Dans une société tribale où le cheval permet d’exister, de se déplacer, de combattre, de montrer son rang social, le non-musulman en est privé : on lui autorise l’âne, le mulet, la monture humiliante, mais chevauchée en amazone, la manière féminine de monter ; il peut marcher dans la rue, mais il ne lui est pas permis de dépasser un musulman ; bien sûr, le port d’arme est formellement interdit - autant dire que, désarmés, ils sont à la merci du premier bandit venu. Parfois même, outre le tissu jaune de sinistre mémoire, on leur tatoue un lion sur la main, comme d’autres un numéro sur l’avant-bras. […]"
"Le bilan d’Hugo Chavez à la présidence du Vénézuela est peu reluisant. Sans l’aide du prix du pétrole, les finances du pays serait en banqueroute ; elles ne sont d’ailleurs pas loin de cette situation malgré une hausse fulgurante du prix du pétrole. En plus de ce désastre économique, la répression, la négation de la liberté de presse, le comportement anti-démocratique, la criminalité et la corruption ont été au menu sous Chavez. Présentement, le Vénézuela est clairement sur les traces de Cuba ; i.e. que Chavez est en train d’amener le pays, peu à peu, vers une dictature socialiste militaire-totalitaire."
Pourquoi cette fixation sur le porc, les bovins, les ovins, les volailles sont également maltraitées et chargés en antibiotiques voire en hormones avant d’arriver dans nos assiettes.
" Ce qui me désole dans votre article c’est que vous écrivez que ce triste Tariq Ramadan est un musulman. A "SA" connaissance, il est islamiste. C’est faire une confusion dangereuse pour les non-connaisseurs. A ma connaissance c’est arnaqueur voulant jouer les penseurs. Autre insulte à corriger en nous disant que c’est un "intellectuel suisse" (sic et resic). Merci pour les intellectuels et merci pour la Suisse.Ouf, ce n’est pas un Tunisien ! Mais l’article est aussi un délice car il nous prouve que ce machin islamiste est un spécialiste du faux et l’usage du faux. Toutes les informations qu’il donne ici sont aussi crétines les unes que les autres. Ainsi donc d’après lui la révolution tunisienne a été orchestré par les USA. Qu’il ose venir chez nous et le proclamer. Mais peut-être que ce pays avait payé Mohamed Bouazizi pour qu’il s’immole après un entrainement pour futur suicidaire ? J’ai toujours soutenu que ce Ramadan est non pas dangereux mais un agent américain (ha ha ha ) chargé de montrer l’Islam dans sa face la plus sombre. Tariq Ramadan agent de la CIA ? Hé oui, pourquoi pas ? Cela lui va comme une culotte de nonne."
Skylee :
Bien sur que j’rigole quand j’vois la tête des bichons soraliens, sur qu’ils ne peuvent voir ou entendre grand chose à ce qui se passe en Syrie.
Pour vous servir cette belle quenelle sur un plateau mon cher Spartacu !
Et si Hijack, vous entendez bien, votre idole "vétèrotesticulaire" s’en est pris une et une bonne de quenelle, et c’est pas ses prétentions "es-caca-illogiques" qui vont y changer quelque chose :
"Mêmes aspirations politiques et sociales, de ce côté et de l’autre de la méditerranée, convergeant aussi sur le plan théologique. L’eschatologie chrétienne dans l’Apocalypse de Jean concordant avec les hadîts coraniques sur la fin des temps où Jésus vient prêter main forte au Mahdi pour triompher ensemble du même Antéchrist.
Un Antéchrist mammonique dont chacun comprend que l’antre est plutôt Wall Street que Tora Bora. Et je me demande d’ailleurs comment certains, qui se disent catholiques, peuvent justifier de travailler pour le diable USraélien, quand la théologie rejoint à ce point la géopolitique pour nous montrer la voie du Bien."
http://justice.skynetblogs.be/archive/2011/03/26/le-bloc-notes-d-alain-soral.html
Hiéro, c’est pas une surveillance c’est l’interdiction générale pour tout journaliste étranger sauf visite guidée style Voyage de Soral ou prestations de Meyssan.
"La presse syrienne n’est pas libre. Elle pourrait éventuellement se caractériser par la corruption, a estimé une enquête de Freedomhouse, une organisation qui enquête sur le degré de liberté de la presse dans chaque pays.
La liberté de la presse a brièvement connu un épanouissement en Syrie, lorsque Bashar al-Assad est devenu président en 2000. Pour la première fois en près de 40 ans, des publications privées étaient autorisées. Parmi les nouveaux titres figuraient des documents de partis politiques et un journal satirique.
La télévision syrienne a commencé à présenter des programmes et débats politiques dans lesquels des questions autrefois taboues sont discutées, telles que le fait de critiquer le gouvernement. La loi de 2001 sur la presse, cependant, a permis au gouvernement de suspendre des publications après une violation des règles régissant le contenu. Les publications sont surveillées par des membres du gouvernement désignés à cet effet.
Les télédiffuseurs FM privés et commerciaux sont autorisés mais ne sont pas supposés transmettre des informations ou des questions politiques.
La Syrie compte environ 1,5 millions d’internautes. Le Web compte cependant un certain véhicule en matière de censure. En effet, Reporters Sans Frontières déclare que “la Syrie est le pire des contrevenants à la liberté d’Internet et censure l’opposition et les sites d’actualités indépendants.”"
Chatouillez vous un peu plus fort, les petits bichons de Soral, je ne vous sens pas rigolards du tout mais plutôt hargneux et aboyeurs à propos de cette vidéo qui a la suprême audace de critiquer le maître.
"Nous disposions d’une lettre du ministère syrien de l’information nous autorisant à rencontrer pendant quatre jours tous ceux que l’on souhaitait et à prendre des photos et images. (...) Le régime a compris qu’en fermant la porte aux journalistes et aux observateurs étrangers, il perdait la bataille médiatique. (...) Le gouvernement syrien s’est mis lui-même en mauvaise posture. L’opposition a savamment organisé sa campagne médiatique en filmant ses manifestations et la répression. (...) La Syrie est tombée dans son propre piège. On ne peut plus, dans le monde d’aujourd’hui, fermer hermétiquement un pays." explique Christophe Lamfalussy, accompagné, sur place, d’une équipe de la RTBF.
Un voyage bien balisé par le régime en place mais malgré tout utile selon notre journaliste : "Je crois que la Syrie est un puzzle. Avec ce reportage, nous apportons une pièce du puzzle, une part de vérité."
Homs, Qusayr, Damas : un voyage à travers le pays, ravagé par les violences depuis le mois de mars. "Ce qui m’a frappé en Syrie, c’est le fort sentiment d’union nationale. (...) Le régime de Bachar el Assad joue habilement sur ce sentiment national en lui opposant l’idée que le conflit vient de l’extérieur".
3.500 morts, déjà, selon l’ONU : "Ce que j’ai vu en Syrie sont les germes d’une guerre civile, où l’opposition s’est muée en une sorte de guérilla, bien organisée, bien armée et financée, dit-on, en partie de l’étranger" explique notre envoyé spécial de retour de Syrie."
hijack, vous êtes drôle, je me marre parce qu’on ne vous sent vraiment pas hilares sur le coup, la quenelle de veau passe mal ?
hijack,
Si Bachar Al Assad n’ a rien a cacher pourquoi son régime empêche-t-il les journalistes de faire leur travail d’information en Syrie, pourquoi donne-t-il des autorisations au compte goutte à des journalistes choisis et encadrés par Meyssan ou Soral dans le cadre de voyage de propagande dignes du totalitarisme soviétique de la grande époque ?
La vérité à cacher, c’est ça :
"L’État de barbarie. Ce concept mis au point par Michel Seurat, chercheur français et ancien otage au Liban, au début des années quatre-vingt, pour décrire la Syrie d’Hafez Al-Assad semble particulièrement opérant aujourd’hui dans la Syrie de Bachar Al-Assad. Depuis le mois de mars, les services de sécurité et l’armée tentent de mettre au pas une population en révolte. L’Organisation des nations unies (ONU) parle de 4.000 morts et de dizaines de milliers de prisonniers.
Mais il y a aussi les témoignages, sur place, qui décrivent des villes, des quartiers en situation de siège moyenâgeux : plus d’eau, plus d’électricité, plus de nourriture et les hommes entre 15 et 55 ans, systématiquement pris pour cible. L’objectif ? Soumettre. Il y a aussi ces soldats dont la main tremble à l’idée de tirer sur leur peuple et qui se voient immédiatement exécutés. Un sentiment domine, celui d’un pouvoir aux abois, qui craint, sans doute à juste titre, de perdre la partie. Et qui pour se maintenir est prêt à toutes les extrémités."
http://www.20minutes.fr/monde/syrie/832524-syrie-damas-huit-mois-agonie
Toujours le même grand sens de l’humour, hijack.
Oublie pas le Pape, Papa Le Pen, Papa Marchais, le Paf et Pif le chien où Soral a peut-être pigé dans sa jeunesse communisante.
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