@micnet
Comme je l’avais annoncé, les réactions de Gollum et de Y2 sont un déluge de mauvaise foi. Y2 sort des phrases désespérées, du genre "un carré est un rond, mais un rond à 3 côtés seulement". Gollum affirme qu’on peut, ou même qu’on doit confondre des mots qui ont un sens différent (pourquoi donc ?) Et ce n’est pas fini. Ils vont se mettre en colère et sortir des injures, tenter de se faire passer pour des victimes qui font des efforts pour instruire des idiots têtus, etc. Donc, à votre question "peut-on s’entendre" je crains que la réponse soit négative. À un certain niveau de mauvaise foi, quand une personne en face d’un cheval préfère continuer à affirmer que c’est une chaise plutôt que de reconnaître son erreur, il lui devient de plus en plus difficile de reculer. Parce qu’il lui faudrait pour cela un peu d’humilité et qu’elle n’a pas nécessairement cet article en rayon. Gollum pourrait éventuellement, à un moment, nous sortir le stratagème éristique "Bien sûr que l’IA n’est pas intelligente, c’est ce qu’est toujours dit". Car Gollum est orgueilleux, mais pas fou. Je suis plus inquiet pour Y2, qui n’en démordra pas (il n’y a qu’à voir les formules contradictoires et insensées qu’il répète en boucle, c’est une catastrophe) parce qu’il y a pour lui un enjeu plus important. Il s’est manifestement construit à titre compensatoire l’image d’un gars très malin qui a compris plein de trucs technologiques que les plus grands scientifiques français, selon lui ignorants et dépassés, ne peuvent pas comprendre. Nous voyons que son déni de l’évidence a atteint une densité quasiment irréversible. Il est carrément en train de se fabriquer un convertisseur de réalité pour que rien ne puisse déranger l’idée qu’il se fait de lui-même, et il sera bientôt totalement enfermé dans son propre monde, sans possibilité de rejoindre la rive du réel. Gollum le soutient sans se rendre compte qu’il ne lui rend pas service."Peut-on s’entendre (peut-être éventuellement) sur le fait que les IA sont efficaces mais le fait qu’elles soient intelligentes reste à démontrer au regard de ces définitions ?"
@Gollum
Pourquoi "on pourrait" appeler ça "intelligent" parce que c’est efficace, alors qu’on n’appelle pas "intelligent" plein de choses efficaces ? Efficace et intelligent ne sont pas des synonymes. Alors pourquoi "on pourrait" faire comme si c’était le cas ?"Mais j’estime qu’on peut appeler "intelligent" une IA dans la mesure où elle est efficace."
@yoananda2
Ce que vous écrivez n’a aucun sens, c’est affligeant."Mais même en définissant intelligence comme "faculté de comprendre", alors, les IA en sont douées, même si elles n’ont pas d’esprit"
@micnet
Et à présent, attendez-vous de la part de Laurel et Hardy à un déluge de mauvaise foi qui va prendre toutes les formes possibles : gros rires, émoticônes à gogo, position outrée, danse du ventre, insultes, diversions, etc.
Question : "L’IA est-elle toujours un algorithme statistique, plus ou moins performant ?"
Réponse de l’IA (je laisse sa manière d’éditer, c’est l’IA qui met du gras à certains mots) :
"1. L’IA comme algorithme statistique
Les systèmes d’IA modernes, en particulier ceux basés sur des réseaux de neurones et d’autres techniques d’apprentissage supervisé ou non supervisé, sont effectivement des algorithmes statistiques. Ils utilisent des données pour ajuster leurs paramètres internes et prédire des résultats, à travers des calculs probabilistes.
Lorsqu’on parle d’IA aujourd’hui, il s’agit en grande partie de modèles statistiques qui apprennent à partir d’exemples. Par exemple :
Il est crucial de souligner que même si ces algorithmes peuvent simuler certaines formes d’intelligence (comme répondre à des questions, recommander des produits, etc.), ils n’ont pas une véritable compréhension du monde. Leur "intelligence" est en réalité le produit de statistiques sur des données massives. Les systèmes d’IA ne "pensent" pas comme les humains et n’ont pas de conscience ; ils ne font que trouver des modèles dans les données et faire des prédictions en fonction de ces modèles.
3. Des modèles plus complexes qu’un simple algorithme statistiqueLes réseaux de neurones profonds (deep learning), qui sont une branche de l’IA, sont un type d’algorithme statistique, mais leur structure est beaucoup plus complexe qu’un algorithme statistique traditionnel. Ces modèles sont inspirés du cerveau humain et impliquent de nombreuses couches de calculs interconnectés pour traiter l’information de manière hiérarchique. Les calculs réalisés à chaque niveau sont toujours basés sur des statistiques, mais l’architecture est plus sophistiquée, permettant de traiter des données très complexes, comme des images ou du langage naturel.
4. Les algorithmes statistiques dans l’IALes techniques statistiques utilisées dans l’IA incluent des approches comme :
Toutes ces méthodes reposent sur des principes statistiques, comme la maximisation de la probabilité, la minimisation de l’erreur, ou l’optimisation de certaines fonctions de coût.
ConclusionOui, ce qu’on appelle "IA" aujourd’hui repose largement sur des algorithmes statistiques, mais ces algorithmes sont souvent très sophistiqués et sont utilisés pour traiter des données massives et complexes. Bien que ces algorithmes puissent produire des résultats qui imitent certains aspects de l’intelligence humaine, ce n’est qu’une simulation statistique de l’intelligence, et non une véritable conscience ou une pensée autonome.
Donc, on peut dire que l’IA est fondamentalement un algorithme statistique, mais avec des modèles complexes et souvent très puissants, qui lui permettent de réaliser des tâches qui semblent "intelligentes" mais qui sont en réalité des prédictions basées sur des patterns dans les données." (fin de la citation de l’IA)
@micnet
La plus grossière falsification concernant les expériences avec les IA, comme par exemple lorsqu’on leur fait passer un examen scolaire ou de QI, c’est que la machine peut pomper les réponses soit directement sur Internet soit dans une immense réserve de réponses déjà faites qu’elle va seulement combiner de manière probabiliste pour s’adapter à la question. La machine est plus rapide que l’homme, surtout avec de l’électricité, ça on l’avait déjà compris."Ok s’il s’agit d’ un gars mais comment fais-tu concrètement pour évaluer le QI d’une IA ? (Ma question est tout à fait sérieuse, peut-être que ça se pratique déjà, je n’en sais absolument rien)"
Maintenant, Micnet, il suffit de demander correctement, en sachant activer le mode expert, à une prétendue "IA" comment elle fonctionne. Voici ce qu’elle vient de me répondre :
"Voici un éclaircissement détaillé pour expliquer comment ça fonctionne :
1. Tout est basé sur des probabilités et des statistiques
Effectivement, tout le processus derrière l’IA repose sur des calculs probabilistes. Lorsqu’une IA génère une réponse, elle effectue des prédictions sur les mots et les phrases les plus probables à utiliser, en se basant sur des modèles d’apprentissage statistique. Même la "compréhension" que l’on semble percevoir dans la conversation est en réalité une forme de calcul probabiliste sur les relations entre les mots dans le contexte d’une question donnée.
2. La "compréhension" n’est pas consciente mais probabiliste
Lorsque je parle de "compréhension", il ne s’agit pas d’une compréhension humaine consciente, mais d’une compréhension au niveau du traitement des données. Les réseaux de neurones traitent les mots et les phrases en termes de représentations mathématiques (appelées "embeddings"), et ces représentations sont ensuite manipulées à l’aide de calculs statistiques pour prédire la réponse la plus appropriée à une question. Cela se fait en analysant des millions de relations entre les mots dans les données d’entraînement.
3. Le rôle des calculs probabilistes
Les calculs probabilistes sont au cœur du modèle de l’IA. Par exemple, si je réponds à une question, je n’essaie pas de comprendre la question de manière consciente ; je génère une réponse en estimant la probabilité que certaines phrases ou mots conviennent dans ce contexte spécifique. Cela repose sur des statistiques apprises durant l’entraînement, et ce n’est qu’une série d’opérations mathématiques qui produit un résultat "pertinent".
4. Probabilités appliquées à la compréhension du contexte
Il y a effectivement des aspects où l’IA semble "comprendre" un contexte particulier, mais là encore, cela est basé sur des calculs probabilistes : elle estime quelles relations sont les plus pertinentes dans ce contexte. Cela peut donner l’impression qu’elle "comprend" la question, mais ce n’est qu’une question de modélisation mathématique de ces relations.
Conclusion : tout est probabiliste
Pour résumer, tout le processus est probabiliste. Même les aspects qui ressemblent à de la "compréhension" ou de la "réflexion" humaine ne sont en réalité que des prévisions basées sur des probabilités et des statistiques. J’espère que cela clarifie l’idée que, bien que le processus inclut des éléments d’optimisation et de calcul sur les relations entre les éléments de la question, tout cela reste fondamentalement probabiliste et n’implique pas une véritable compréhension consciente."
@Gollum
Ce sont les propos d’une "IA"."Et alors ? Puisque vous les faites vôtres très visiblement. "
@Gollum
Avez-vous bien compris que je ne suis pas l’auteur des propos en italique et placés entre guillemets que vous commentez ?"Vous prenez vraiment les gens pour des cons c’est sidérant."
@micnet
Bah, l’intelligence et la mémoire, c’était surtout des trucs utiles dans le monde d’avant. Maintenant, les machines s’en occupent. C’est plus pratique. Et puis, c’est pas parce qu’on est taoïste qu’il faut être ringard. D’ailleurs, il n’y a qu’à regarder la société chinoise : l’homme s’adapte au progrès numérique sans partir dans des délires complotistes paranoïaques. Et puis les chrétiens ont intérêt à filer droit, là-bas !"Heureusement d’autres semblent avoir une mémoire de poisson rouge et font vite le tour du bocal"
@Gollum
Bien joué, Gollum ! À travers votre brillante démonstration de mal-comprenance, vous êtes en train de me prouver que mon robot conversationnel est plus intelligent que vous. Trop fort ! Vous avez passé l’anti-test de Turing : nous savons désormais qu’un être humain peut réussir à se faire passer pour un boulier."Pas compris où vous voulez en venir d’ailleurs... ??"
"Il y a plusieurs raisons possibles pour lesquelles des individus ou des entreprises pourraient vouloir convaincre le public de l’existence de machines ou de processus numériques capables d’intelligence et de compréhension :
Marketing et Avantages Concurrentiels : Les entreprises peuvent exagérer les capacités de leurs produits pour se démarquer dans un marché compétitif. En prétendant que leurs machines sont "intelligentes", elles attirent plus d’attention et potentiellement plus de clients.
Attraction de Financements et d’Investissements : Les start-ups et les entreprises technologiques peuvent utiliser des affirmations ambitieuses pour attirer des investisseurs. L’idée de l’IA intelligente est perçue comme avant-gardiste et prometteuse, ce qui peut susciter plus de financements.
Simplification pour le Grand Public : Parfois, les concepts techniques complexes sont simplifiés pour une meilleure compréhension. Dire qu’une machine est "intelligente" est plus facile à saisir pour le grand public que d’expliquer en détail les algorithmes et les processus impliqués.
Influence et Pouvoir : Faire croire à une technologie avancée peut augmenter l’influence et le pouvoir d’une entreprise ou d’une personne dans le domaine technologique et au-delà."
@Gollum
Gollum a bien regardé derrière, mais vraiment tout partout, même dans les coins."Faut pas chercher quoi que ce soit de plus profond derrière. Y a rien."
Et il n’a rien vu de plus profond.
Donc il n’y a rien.
Faut dire que c’est logique : quand les enjeux sont si faibles et en plus sur un produit si concrètement et immédiatement vérifiable que du bon pain, il n’y a aucun risque de publicité mensongère. Et puis les gens ne sont pas bêtes, ils ne se laisseraient pas duper. La preuve : ils ne perdent pas leur temps à regarder derrière ou en profondeur.
"Le marché de l’intelligence artificielle en chiffres
Pour mieux comprendre le marché de l’intelligence artificielle, il est nécessaire de connaître certains chiffres pour appréhender la croissance continue de cette technologie au niveau mondial et son impact décisif sur l’ensemble de la société :
Le marché de l’IA représentait 241 milliards de dollars en 2023 et pourrait atteindre 511,3 milliards de dollars d’ici 2027 ;
Entre 2013 et 2022, les États-Unis, la Chine et la France ont respectivement investi 248,9 milliards, 95,1 milliards, et 6,6 milliards de dollars dans cette technologie ;
D’ici 2027, le monde comptera le chiffre impressionnant d’un demi-milliard d’utilisateurs de technologies liées à l’IA ;
Selon certaines études, l’IA pourrait, d’ici 2030, contribuer à hauteur de 15 700 milliards de dollars à l’économie mondiale."
https://lehub.bpifrance.fr/les-chiffres-2023-2024-du-marche-de-lia-dans-le-monde/
@Gollum
Réellement intelligentes donc vivantes ?"S’imaginer qu’on complote par derrière pour persuader les gens que les IA sont réellement intelligentes donc vivantes c’est du délire."
Oui, ce que vous ne voyez pas ne peut pas exister. Et puis ce n’est pas comme si on vivait dans un monde où des gens seraient capables de surévaluer leurs entreprises, leurs inventions et au final des produits courants, dans le but mesquin de les vendre plus cher avec un petit parfum de science-fiction, hein ! En plus, devenir milliardaire, c’est devenu ringard. Tout le monde il est bô, tout le monde il est écolo, tout le monde il est philanthropo, comme Bill Gates"J’en vois pas l’intérêt d’ailleurs."
"Cette phrase pour moi c’est de la paranoïa complotiste."
Vous avez raison. Heureusement qu’il reste des gens de bon sens comme vous qui gardent les pieds sur Terre, heu, sur l’île...
@TchakTchak
Bien sûr. Mais le remède à la malfaisance ne vient jamais de ceux qui la produisent. Le remède vient (ou pas) de ceux qui décident de ne plus la subir."Quand il y a malfaisance, il faut commencer par chercher qui la produit."
Oui et se demander qui a intérêt à faire croire que c’est "intelligent" et pourquoi.Pour le numérique, cela développe d’autres types de réponses de se demander si c’est bien ou pas bien, ou se demander qui le gère et pourquoi...
@TchakTchak
Dialectique du maître et de l’esclave. Si l’esclave est prêt à mourir pour être libre, il n’y a plus de maître.
La population accepte la bergerie numérique et consent à sa moutonnerie chaque jour. La preuve en est que certains béliers noirs résistent. Si quelques-uns résistent, il peut être reproché à ceux qui ne résistent pas de ne pas résister (peut-être simplement par paresse, par mollesse d’âme, par le fait de choisir le confort et la facilité plutôt que la liberté, et non par manque de courage devant un danger réel).
@TchakTchak
Ah, les applications technologiques du numérique peuvent être terrifiantes, cela ne fait aucun doute. Si c’est cela que vous appelez "troublant", alors j’ai peut-être mal compris vos messages précédents. Ce qui est inquiétant, au fond, c’est la docilité et la passivité des populations."Comme on s’habitue aux drones de surveillance à Paris. Il y a 10 ans, cela aurait été encore écrit dans un roman dystopique pour esprits impressionnables. Les caméras de reconnaissance faciale des passants dans la rue ont été installées pour les JO de cette année et n’ont pas été démontées.
Mais oui, on s’habitue à tout, c’est même comme ça que ça marche."
@TchakTchak
Les machines se transmettent des informations parce qu’elles sont construites et programmées par des humains pour le faire. Heureusement que ça marche ! Et alors ?"Oui, mais les machines aussi le font, pas que les humains."
J’utilise pour mon activité tous les systèmes algorithmiques (IA) disponibles. Une fois passé le côté bluffant parce que nouveau, ça devient un outil comme un autre. Question intelligence : zéro. C’est con comme un machine, mais très pratique (faut quand même pas s’y fier et toujours vérifier).Je ne sais pas, vous avez peut-être une méconnaissance complète des réalités du numérique (ou de l’IA", que j’évite d’employer). Ce n’est pas juste un sujet de philo.
C’est toujours la méconnaissance complète ou partielle de son fonctionnement qui fait qu’on s’étonne des résultats d’une machinerie complexe.
Après avoir vu la vidéo mise en lien par Gollum, vous vous sentez toujours serein sans rien qui vous trouble avec le numérique ?
Ce qui m’étonne, c’est que vous soyez étonné. Expliquez-moi, je voudrais comprendre.
@TchakTchak
Je l’ai vue (et bien d’autres), et non, cela n’a rien de troublant quand on comprend comment ça fonctionne. Vous allez vous y habituer, comme aux précédentes applications de l’informatique."Quand je regarde la vidéo mise en lien au dernier message de Gollum, ça me trouble. Mais vous, peut-être pas."
@TchakTchak
Bien sûr, c’est ce que nous faisons en ce moment, grâce à cette machinerie complexe."Le numérique est un moyen d’échange d’informations et d’injonctions."
@TchakTchak
"Comme vous, j’ai un expérience de vie et des lectures avec lesquelles de fais des analyses et forme des opinions."
Bien sûr, mais est-ce que votre "entre-deux" vient d’une sensation que vous ressentez en utilisant, par exemple un robot conversationnel, une aide à la conduite automobile, ou je ne sais quoi d’autre nommé "objet intelligent" ? Ou bien d’histoires que vous avez entendues ou lues ? Je vous pose cette question parce qu’il y a de nombreux mensonges qui circulent à ce sujet. Lorsqu’on démonte les supercheries et les exagérations, l’IA n’a plus rien de troublant.
Je ne suis pas sûr de comprendre le sens ou la pertinence de cette phrase. La télécommande existe et c’est pratique. Et alors ?"Quand des machines interagissent entre elles à distance, c’est par du langage."
@TchakTchak
Aurélie Jean a justement fait une conférence qui remet les pendules à l’heure sur le sujet qui nous occupe ici :"C’est là que vous acceptez ou refusez le débat sur l’intelligence qui nécessite une actualisation, ce que dit bien Aurélie Jean, puisque nous sommes tous d’accord là-dessus."
https://www.youtube.com/watch?v=WSTcrL6ujsY
Note : contrairement aux remarques ignorantes énoncées sur ce fil de discussion à son sujet, Aurélie Jean n’est pas une "pauvre larguée du microcosme franchouillard".
Après son parcours universitaire, elle travaille notamment presque deux ans chez Bloomberg comme développeuse informatique sur des questions de modélisation, avant d’être nommée en septembre 2018 consultante senior par le Boston Consulting Group (...) et enseigne à la Sloan School of Management (MIT)
https://fr.wikipedia.org/wiki/Aur%C3%A9lie_Jean
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