Difficultés certes, mais pas effondrement sur tous les domaines
Ainsi avant-hier, le Monde (pas pro-poutinien) a publié ’’En dépit d’une inflation élevée, l’économie russe, portée par les dépenses militaires, résiste’’
Et le Figaro du 4 décembre : ’’Pourquoi l’économie russe résiste bien et peut supporter l’effort de guerre’’
L’affaire syrienne est un mauvais coup pour la FDR, mais on ne sait pas si les nouveau régime de Damas ne trouvera pas son intérêt à ménager (contre finances) la chèvre et le chou.
Sur le front ukrainien, l’avance est très lente, mais elle est continue et s’est accentuée ces dernières semaines.
Territorialement, ce qui est pris est pris, mais sans doute la Russie ne sera pas en mesure d’exiger sur le tapis vert au delà de la ligne de front, d’où l’intensification.
Le problème sera le statut de l’Ukraine occidentale vis à vis de l’OTAN, car sa frontière recule mais l’éventualité de bataillons ou de bases de l’OTAN reste un casus belli pour la Russie.
Enfin, on aura la réponse bientôt ...peut-être même avant d’avoir un budget chez nous !