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Les commentaires de epapel



  • 4 votes
    epapel epapel 14 janvier 2011 15:28

    C’est très intelligent de se faire l’avocat du diable, à condition de le faire avec intelligence sinon c’est très con. Je pensais que Bourdin était un poil plus finaud que ça.



  • 5 votes
    epapel epapel 14 janvier 2011 15:21

    Benoît Hamon a raison, le choix de Bourdin est totalement fallacieux :
    - la critique favorable d’une politique économique n’a rien à voir avec le traitement complaisant d’une politique de répression
    - l’anachronisme de la comparaison car il n’y avait pas de mouvement de contestation de cette importance en 2008

    Et puis il y a deux poids deux mesures :
    - 50 morts du à la répression en Tunisie, circulez il n’y a rien à voir
    - 2 morts à Abidjan à cause de Gbagbo, menaces et intimidations



  • 2 votes
    epapel epapel 12 janvier 2011 19:14

    S’il s’était trompé, c’eut été un autre débat : la liberté d’expression ce n’est pas de pouvoir dire du n’importe quoi qui pourrait porter préjudice à tort à autrui.



  • 7 votes
    epapel epapel 12 janvier 2011 17:17

    Moi aussi, car il y en a marre que la vérité soit constamment éludée.



  • 3 votes
    epapel epapel 12 janvier 2011 17:15

    Vous commencez sérieusement à nous faire ... avec l’islamophobie.



  • 8 votes
    epapel epapel 12 janvier 2011 17:13

    Une chose est clairement établie : ce qu’a dit Zemmour est factuel, vrai et vérifiable.

    Les bonnes questions sont donc :
    - la vérité peut-elle être raciste ? la réponse est non
    - le racisme est-il caractérisé par ce qu’on énonce ? la réponse est oui
    - la racisme est-il caractérisé par qui l’énonce ? la réponse est non

    Conclusion : Zemmour ne doit pas être condamné car il a dit une vérité.



  • vote
    epapel epapel 11 janvier 2011 00:24

    C’est exactement ça la faute professionnelle : dans le cadre de ses cours un professeur ne dispose pas d’une totale liberté d’expression car il doit respecter le programme et les orientations données tout en étant soumis au devoir de réserve.



  • vote
    epapel epapel 11 janvier 2011 00:20

    En revanches les anti peuvent exprimer tout à loisir leur opposition à l’avortement dans les médias et les espaces prévus pour cela, c’est leur droit et je le respecte.



  • vote
    epapel epapel 11 janvier 2011 00:15

    L’école de la république n’est pas un lieu où la liberté d’expression peut s’exercer pleinement par des fonctionnaires qui sont soumis au droit de réserve associé à leur profession.



  • vote
    epapel epapel 11 janvier 2011 00:12

    Oui j’ai vu mais ça ne justifie pas sa position car il doit respecter le cadre des cours pour lesquels il est payé par l’Etat en tant que fonctionnaire.

    S’il veut débattre tout à son aise, il démissionne et il se lance dans la politique.



  • vote
    epapel epapel 11 janvier 2011 00:09

    Certes, c’était dans un cours d’éducation civique, mais il est dans l’école de la république et donc il n’a pas le droit de présenter quelque chose de légal comme un crime. En tant que professeur il n’a pas le droit d’imposer son opinion personnelle car le contenu des cours est défini par l’éducation nationale et il doit le respecter. S’il n’est pas content de cette situation alors il n’a qu’à aller dans le privé.

    L’éducation civique et sociale ce n’est pas non plus un cours de médecine sur les techniques d’avortement.



  • 1 vote
    epapel epapel 11 janvier 2011 00:02

    1) Il le dit lui même dans la première vidéo qu’il a présenté tout ça à ses élèves de la même manière qu’il présente des films sur la Shoa.

    2) Dans le texte, il est écrit qu’il l’a présenté à ses élèves.

    Il est bien professeur d’histoire-géographie, non ?



  • vote
    epapel epapel 10 janvier 2011 23:55

    Ce sont justement ses explications qui me conduisent à dire qu’il est de son domaine.



  • vote
    epapel epapel 10 janvier 2011 23:53

    A l’école ?



  • vote
    epapel epapel 10 janvier 2011 22:57

    1) Il n’y a pas de propagande pro avortement, mais seulement une présentation des procédures légales et des contraintes médicales aux personnes qui sont potentiellement concernées à court terme car il normal et nécessaire que les gens connaissent à temps leurs droits sur les questions essentielles. Le planning familial ne fait qu’appliquer la loi ce qui est bien la moindre des choses.

    2) Une propagande anti-avortement qui viserait à culpabiliser les adolescentes à l’école dans le but d’empêcher qu’elles recourent à l’avortement n’est pas légitime par nature car au plan logique, culpabiliser les gens par rapport à l’exercice de leurs droits est complètement absurde. Les pro-vie veulent empêcher l’application de la loi ce qui est abusif.

    3) Le but des anti-avortement est de revenir à la criminilisation de l’avortement ou à tout le moins limiter le nombre d’avortement ce qui est parfaitement légitime, mais le débat doit être porté au niveau politique ou dans les médias et non dans le milieu scolaire, car l’école de la république est tenue d’appliquer la loi existante et non de la contester.

    En attendant un droit est un droit et toute action tendant à empêcher son libre exercice est illégale.



  • vote
    epapel epapel 10 janvier 2011 22:24

    La présentation des techniques d’avortement relève d’un cours de médecine.
    La présentation du bien fondé et des conséquences "morales" de l’avortement relève d’un cours d’éthique ou de philosophie
    La présentation des modalités d’accès à l’avortement relève d’un cours d’éducation sexuelle

    Tout ça n’a rien a faire dans un cours d’histoire qui a pour but de présenter des faits historiques et non pas d’organiser des débats sur le présent.



  • vote
    epapel epapel 10 janvier 2011 22:15

    Le problème n’est pas de savoir s’il a dit ou non la vérité au sujet de l’avortement mais si le débat proposé à quelque chose à faire dans un cours d’histoire dispensé par un professeur payé par l’Etat.

    La réponse est non car :
    - un cours d’histoire a pour but de rendre intelligible aux élèves le passé en leur présentant les faits important dans leur contexte (chronologie, géographie, politique)
    - un cours d’histoire n’est pas un cours de technique
    - un cours d’histoire n’est pas un cours de philosophie
    - un cours d’histoire n’est pas un cours de sociologie
    - un cours d’histoire n’est pas pas cours juridique

    Ce monsieur est tout simplement hors sujet, il ne respecte pas la déontologie de sa spécialité en ne faisant pas un véritable cours d’histoire et il utilise son cours comme une tribune pour défendre ses opinions, c’est pour cela qu’il a été suspendu.
    En revanche il aurait pu et du expliquer comment les débats des années post 68 ont conduit au vote de la loi Veil légalisant l’avortement et quelles en ont été les conséquences, là c’eut été un cours d’histoire pertinent.



  • vote
    epapel epapel 10 janvier 2011 22:15

    Le problème n’est pas de savoir s’il a dit ou non la vérité au sujet de l’avortement mais si le débat proposé à quelque chose à faire dans un cours d’histoire dispensé par un professeur payé par l’Etat.

    La réponse est non car :
    - un cours d’histoire a pour but de rendre intelligible aux élèves le passé en leur présentant les faits important dans leur contexte (chronologie, géographie, politique)
    - un cours d’histoire n’est pas un cours de technique
    - un cours d’histoire n’est pas un cours de philosophie
    - un cours d’histoire n’est pas un cours de sociologie
    - un cours d’histoire n’est pas pas cours juridique

    Ce monsieur est tout simplement hors sujet, il ne respecte pas la déontologie de sa spécialité en ne faisant pas un véritable cours d’histoire et il utilise son cours comme une tribune pour défendre ses opinions, c’est pour cela qu’il a été suspendu.
    En revanche il aurait pu et du expliquer comment les débats des années post 68 ont conduit au vote de la loi Veil légalisant l’avortement et quelles en ont été les conséquences, là c’eut été un cours d’histoire pertinent.



  • 2 votes
    epapel epapel 9 janvier 2011 17:21

    Ce n’est pas le CO2 qui risque de créer des problèmes irréversibles, comme nous le prédisent allègrement les sensationnalistes, car la planète et les êtres vivants ont connu des taux bien supérieurs.

    Nul doute qu’à l’échelle de dizaines de milliers d’années le taux de CO2 reviendra aux valeurs pré-industrielle et qu’il y aura des périodes glaciaires et que même après chaque extinction de masse la vie est redevenue florissante donc le problème n’est pas là.

    Les vrais problèmes sont :
    - une hausse importante des températures moyennes peut-elle entraîner un désordre écologique tel que la civilisation ne s’en remettrait pas, ou cela génèrerait des migrations massives déclenchant des conflits mondiaux
    - a partir de quel seuil de température nous entrons dans un régime climatique complètement différent
    - à partir de quel seuil le processus s’emballe quoi qu’on fasse pour le stopper

    Par exemple, des hypothèses portent sur l’effondrement de mousson indienne : si cela arrive effectivement alors il y aura 1 milliard de personnes en trop sur la zone, alors soit elles envahiront un pays plus au nord soit elles disparaîtront.

    Les êtres vivants vivants ça ne veut rien dire, ne perdons pas de vue que 99% des espèces ayant vécu sur terre ont disparu sans laisser de descendance, l’enjeu c’est :
    - que l’espèce humaine n’en fasse pas partie dans les siècles qui viennent
    - qu’il y ait le moins possible d’êtres humains éliminés pour cause d’adaptation aux nouvelles conditions climatiques du style adaptation des indiens d’amérique face à l’arrivée de l’homme blanc.



  • 2 votes
    epapel epapel 9 janvier 2011 16:57

    La fonte des glaces s’effectue uniquement en périphérie des grands amas glaciers. Cela peut s’expliquer par de la thermodynamique de base, par des transferts thermiques qui font fondre en partie les périphéries.
    C’est vrai en général, mais on constate également actuellement la fonte des glaces et la formation de lacs l’été en plein inlandsis du Groenland.

    Ce sont des effets de bord qui laissent supposer un épaississement du centre voire même un élargissement de la calotte glaciaire.
    Cette conclusion est erronée car la glace de la périphérie est alimentée par un écoulement venant du centre (ou du haut pour les glaciers de montagne), en fait l’indicateur pertinent est l’évolution du front de glace :
    - s’il régresse c’est qu’il y a fonte globale et donc réchauffement
    - s’il augmente c’est qu’il gain global et donc refroidissement.
    Actuellement, on constate la régression des fronts de glace sans exception partout dans le monde.