Formidable ! merci pour ce sujet Awake 
Rappelons qui est le maire de Grigny :
René Balme est maire de Grigny, fils de bûcheron, homme du peuple. Il est engagé à
la SNCF en 1968. Il adhère à la CGT en 1974. Il entre au Parti
Communiste en 1983 et y reste jusqu’en 1997 où il décide de quitter le
parti car il n’adhère pas au soutien du PC à la déclaration de guerre de
la France contre la Serbie.
Elu maire de Grigny en 1992, il est réélu
en 1995, 2001 et 2008. Il rejoint le Parti de Gauche à sa création en
2009. En 2012, il est victime d’une campagne de calomnie orchestrée par
la "journaliste" Ornella Guyet qui publie,
dix jours avant le premier tour de la campagne des présidentielles, un billet incendiaire
malhonnête sur le site "d’information" Rue89.
Cette diatribe, qui
l’accuse d’être la « tache rouge-brun » dans la campagne de Jean-Luc
Mélenchon, est reprise sans vérification (!) dans d’autres médias,
notamment par Le Monde et Le Figaro. Dans ce texte, il
est notamment accusé de « complotisme » (sic), d’« antisémitisme
obsessionnel », d’homophobie et de « faire l’éloge de dictatures ».
L’accusation d’antisémitisme, en particulier, scandalise René Balme, qui revendique sa lutte, toute sa vie, contre tous les racismes. Mais René Balme a visiblement (surtout ?) le tort d’être aussi
opposé à l’idéologie sioniste. Il n’est pas difficile de vérifier que
ces accusations sont mensongères et donc sans aucun fondement, mais qui
prend le temps de vérifier ? Pas la hiérarchie du Parti de Gauche, en
tout cas ! Au lieu de le défendre contre ces diffamations, la hiérarchie
du Front de Gauche baisse son froc devant les média-mensonges et laisse
lâchement tomber René Balme, qui décide naturellement, après la
campagne présidentielle, de le quitter.
Aujourd’hui, René Balme, authentique démocrate (il le prouve en instaurant dans sa commune des procédure démocratique et en mettant en pratique le tirage au sort) est considéré ouvertement comme personna non grata par le Parti de Gauche, cette nouvelle succursale de voleurs de pouvoir faussement de gauche et prétendument "à gauche de la gauche".
Morpheus