Il ne faut pas se faire abuser par les mensonges médiatiques : 1) il n’y a pas de dérèglement climatique car le climat n’a jamais été réglé 2) les modèles ne prouvent que les souhaits des modélisateurs (souhait de survie financière d’opter pour le consensus médiatique lié aux attentes des industriels).
Le changement climatique (mineur) est probablement dû à plusieurs raisons :
— éruption du volcan Hunga Tonga en 2022 qui a émis beaucoup de vapeur d’eau,
— cycles longs
— peut-être le soleil qui est au max dans le cycle de 11 ans
— l’augmentation de l’albedo de la Terre (moins de nuages on sait pas pourquoi)
— l’effet "température ressentie" lié au blocage en oméga assez récurrent en France (gouttes froides atlantiques qui propulsent l’air chaud du sud).
Donc Gervais a raison : le climat change mais ce n’est pas forcément la faute de l’homme. Le CO2 pourtant clamé comme cause certaine et totale n’est semble-t’il (pas vu de preuves) pas en cause, donc le Green Deal de Von Der Leyen sera une catastrophe et c’est juste du bonneteau.
Il faut commencer par éduquer les écolos pour leur faire comprendre que les arbres ont besoin de terre pour pousser, qu’un grand pot n’est pas suffisant et qu’il faut qu’ils débétonnent un peu leurs villes bobo et plantent des arbres correctement. C’est pas sorcier mais il faut quelques neurones quand même pour comprendre ça et la réflexion n’est pas leur fort.
Les villes sont des ilots de chaleur, à leurs habitants de voter pour des maires capables, le béton nu est super chaud c’est pas compliqué.
Pour conclure :
— aucune raison de penser qu’on sorte des courbes en dent de scie donc ça va se refroidir, puis ça se réchauffera, etc., autant s’adapter (les hommes l’ont toujours fait et vivent dans des conditions assez larges en température donc les plaintes sont souvent des gamineries chez les climato-craintifs
— aucune raison de mettre ce changement sur le dos de l’homme blanc patriarcal et hétéronormé, c’est juste de l’hystérie d’extrême-gauche
— il faut éduquer les gens sur la difficulté d’établir des causalités, que celles-ci peuvent être multiples et aussi réflexives, par exemple un volcan qui change le climat qui lui-même influe alors sur d’autres volcans ; c’est l’avenir, mais pas si risqué si on résout d’abord les problèmes qu’on peut résoudre)
— les climato-inquiets qui vrillent sont comme les prédicateurs de fin du monde qui pullulèrent en l’an 999 (enfin, je pense), mais ils sont bien plus nuisibles car ils sont aux manettes de nos instances aujourd’hui (ville, état, euromachin).