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David Colon : "La désinformation tue"

Pourquoi les démocraties sont vulnérables à la désinformation ? Une « conspicratie » est-elle en train de s'installer aux États-Unis ? La Chine nous mène-t-elle une nouvelle guerre de l'opium ? Comment fonctionne une opération de déstabilisation ? Comment l'IA va-t-elle redistribuer les cartes ? David Medioni évoque toutes ces questions avec l'historien David Colon dans ce nouveau hors-série des Déconspirateurs.

Tags : Etats-Unis Information et Médias Chine Histoire Démocratie Désinformation Russie Réseaux sociaux Intelligence artificielle Conspirationnisme Elon Musk TikTok X




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3 réactions à cet article    


  • 1 vote
    tobor tobor 20 février 01:02

    Oufti, du haut vol chez les mougeons ( : 

    08:40 : "Il faut accepter que nos faiblesses soit en même temps des forces" ...Bonne chance ( :


    • vote
      Étirév 20 février 08:16

      « La désinformation tue »
      OUI ! Et ça fait 2.500 ans que cela dure !
      Pendant 2.500 ans l’humanité a vécu sous un régime d’incohérence fait de toutes les folies accumulées :
      - Folie de la domination qui a voulu tout soumettre à l’ambition de quelques despotes qui prétendaient dominer la Terre, se déchirant entre eux, ou, plutôt sacrifiant leurs peuples pour eux.
      - Folie des dogmes qui a imposé des croyances ineptes, des morales absurdes et cruelles qui ont enserré l’âme humaine dans un carcan de douleur et ont avili les races.
      - Folie d’accaparement de richesses folles, entassées par les plus audacieux et les plus rusés aux dépens des masses réduites à la gêne et à la misère.
      - Folie de la réglementation de ceux qui se sont crus autorisés à faire des lois, des règlements, des décrets pour diriger la vie des autres, pour leur donner la permission d’agir, la permission d’écrire, la permission de parler, la permission de penser… et même de respirer puisqu’ils ont fait de tous les actes de la vie des prétextes pour prélever des impôts, réduisant l’humanité à l’état d’automates, mus par un réseau compliqué d’ordonnances et sans cesse surveillée pour saisir et punir le moindre écart de cet assujettissement voulu.
      Pour ces puissants du vieux monde, gouverner c’est pressurer, c’est contraindre, c’est réprimer, c’est punir.
      Le monde actuel est un corps social dans lequel la flamme vitale, sans cesse diminuée, va s’éteindre tout à fait si elle n’est renouvelée.
      Nous vivons sous le régime de l’universelle imposture ; le caractère qui domine tout, c’est le mensonge, la vaine apparence des choses, qui furent réellement grandes et saintes dans les temps passés, mais qui se terminent en comédies, en simulacres ; c’est l’achèvement de toutes les parodies.
      Pour refaire la Société, il faut remonter à la source des idées, reprendre l’œuvre tout entière, reconstituer l’évolution mentale, édifier la science et rectifier l’histoire.
      Rien ne saurait arrêter une idée ou une révélation dont l’heure est arrivée, dit le poète.
      L’heure est donc venue de supprimer tous les despotismes et toutes les orthodoxies pour faire place à la Vérité qui ne s’impose pas par la Force, mais se propose par la Douceur. L’heure est venue de clore l’ère des persécutions.
      Blog


      • vote
        yoananda2 20 février 11:04

        @Étirév

        L’heure est donc venue de supprimer tous les despotismes et toutes les orthodoxies pour faire place à la Vérité qui ne s’impose pas par la Force, mais se propose par la Douceur.

        La vérité est une force qui s’impose.

        La vérité est rarement agréable et fais mal. La vérité évolue au cours du temps, ce n’est pas un absolu, mais une guerre permanente contre les "anciennes vérités". Il faut batailler, être despotique avec les nouvelles vérités pour foutre sur la gueules des anciennes orthodoxies.

        Supprimer les orthodoxies par la douceur, c’est un oxymore, une stratégie marketing pour faire croire aux fragiles que "ça va bien se passer, filer moi votre consentement et votre discernement j’en ferais bon usage pour que vous n’ayez pas à assumer d’aller sur le champ de bataille épistémologique". C’est très vicieux, mais, ça marche auprès d’un certain public en mal d’idéaux et surtout les perdants de ce monde, c’est VRAI.



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