BERNAYS - Comment manipuler l’opinion
Surnommé "le fondateur de la propagande moderne", Edward Bernays a posé les bases d'une véritable science de l'influence. Dans son livre "Propaganda", il nous dévoile les secrets de la manipulation de l'opinion dans nos démocraties modernes.
Tags : Manipulation
8 réactions à cet article
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L’INSTITUT TAVISTOCK POUR LES RELATIONS HUMAINES :
En vedette parmi les professeurs de Tavistock se trouvaient Edward Bernays, le
double neveu de Sigmund Freud. Il est dit que M. Goebbels, Propaganda ministre dans le Le Troisième Reich allemand a utilisé une méthodologie mise au point par Bernays ainsi que celles de Willy Munzenberg, dont les soinsTraduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)
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Un abruti comme Rudy Reichstat accuse à tout va de complotiste .
C’est totalement scandaleux , infamant .
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L’art de la manipulation a fait beaucoup de progrès depuis Bernays. Hélas... Bernays est à la manipulation ce que Copernic est à l’astronomie.
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La démocratie est une illusion et l’outil principal de la manipulation des masses.
Si l’on définit la « démocratie » comme le gouvernement du peuple par lui-même, c’est là une véritable impossibilité, une chose qui ne peut pas même avoir une simple existence de fait, pas plus à notre époque qu’à n’importe quelle autre. Il ne faut pas se laisser duper par les mots.
En effet, il est contradictoire d’admettre que les mêmes hommes puissent être à la fois gouvernants et gouvernés, parce qu’un même être ne peut être « en acte » et « en puissance » en même temps et sous le même rapport. Il y a là une relation qui suppose nécessairement deux termes en présence : il ne pourrait y avoir de gouvernés s’il n’y avait aussi des gouvernants. Mais la grande habileté des dirigeants, dans le monde moderne, est de faire croire au peuple qu’il se gouverne lui-même, et le peuple se laisse persuader d’autant plus volontiers qu’il en est flatté et que d’ailleurs il est incapable de réfléchir assez pour voir ce qu’il y a là d’impossible. C’est pour créer cette illusion qu’on a inventé le « suffrage universel » : c’est l’opinion de la majorité qui est supposée faire la loi ; mais ce dont on ne s’aperçoit pas, c’est que l’opinion est quelque chose que l’on peut très facilement diriger et modifier ; on peut toujours, à l’aide de suggestions appropriées (matraquage de sondages, attentats, épidémie, etc.), y provoquer des courants allant dans tel ou tel sens déterminé.
C’est pour cela qu’on a pu dire que l’opinion, c’est l’erreur du plus grand nombre.
« Ce n’est pas le nombre qui compte, dit Gandhi, mais la qualité... Je ne conçois pas le nombre, ajoute-t-il, comme une force nécessaire dans une cause juste. » Et René Guénon de confirmer : « L’avis de la majorité ne peut être que l’expression de l’incompétence. »
Ceci permet de comprendre pourquoi le pouvoir politique se fonde volontiers sur l’ignorance du peuple et s’accroît d’autant que les esprits sont faibles, les gens incultes.
Il nous faut encore insister sur une conséquence immédiate de l’idée « démocratique » qui est la négation de l’élite entendue dans sa seule acception légitime. Ce n’est pas pour rien que « démocratie » s’oppose à « aristocratie », ce dernier mot désignant précisément, du moins lorsqu’il est pris dans son sens étymologique, le pouvoir de l’élite. Celle-ci, par définition, ne peut être que le petit nombre, et son pouvoir, son autorité plutôt, qui ne vient que de sa supériorité intellectuelle, n’a rien de commun avec la force numérique sur laquelle repose la « démocratie », dont le caractère essentiel est de sacrifier la minorité à la majorité, et aussi, par là même, la qualité à la quantité, donc l’élite à la masse. Ainsi, le rôle directeur d’une véritable élite et son existence même, car elle joue forcément ce rôle dès lors qu’elle existe, sont radicalement incompatibles avec la « démocratie », qui est intimement liée à la conception « égalitaire », c’est-à-dire à la négation de toute hiérarchie : le fond même de l’idée « démocratique » c’est qu’un individu quelconque en vaut un autre, parce qu’ils sont égaux numériquement, et bien qu’ils ne puissent jamais l’être que numériquement. Une élite véritable ne peut être qu’intellectuelle, et c’est pourquoi la « démocratie » ne peut s’instaurer que là où la pure intellectualité n’existe plus, ce qui est effectivement le cas du monde moderne. Seulement, comme l’égalité est impossible en fait, et comme on ne peut supprimer pratiquement toute différence entre les hommes, en dépit de tous les efforts de nivellement, on en arrive, par un curieux illogisme, à inventer de fausses élites, d’ailleurs multiples, qui prétendent se substituer à la seule élite réelle. Remarquons en passant que ces fausses élites sont basées sur la considération de supériorités quelconques, éminemment relatives et contingentes, et toujours d’ordre purement matériel. On peut s’en apercevoir aisément en remarquant que la distinction sociale qui compte le plus, dans le présent état de choses, est celle qui se fonde sur la fortune, c’est-à-dire sur une supériorité tout extérieure et d’ordre exclusivement quantitatif, la seule en somme qui soit conciliable avec la « démocratie », parce qu’elle procède du même point de vue.
NB : Après 1789, la France est passée d’une monarchie qui avait pour contre-pouvoirs tous les corps intermédiaires, à une oligarchie financière dénuée de tout contre-pouvoirs, le tout sous le vocable trompeur de démocratie. La démocratie est le vêtement dont se pare le pouvoir sous le prétexte qu’existe une représentation populaire. Mais cette représentation est, dans les faits, c’est-à-dire concrètement, catégorielle et non pas populaire parce que contrôlée par des partis politiques sous influence des puissances d’argent.
BLOG-
@Étirév
"La démocratie est une illusion et l’outil principal de la manipulation des masses.Si l’on définit la « démocratie » comme le gouvernement du peuple par lui-même, c’est là une véritable impossibilité, une chose qui ne peut pas même avoir une simple existence de fait, pas plus à notre époque qu’à n’importe quelle autre."
Vous reprenez là la vieille critique de la démocratie de René Guénon. Ce n’est pas ce qu’il a écrit de plus intelligent.
"le fond même de l’idée « démocratique » c’est qu’un individu quelconque en vaut un autre, parce qu’ils sont égaux numériquement, et bien qu’ils ne puissent jamais l’être que numériquement."
Non, ce n’est pas du tout le fond de l’idée démocratique. La démocratie est fondamentalement un procédé politique qui consiste à faire naître les lois d’un débat ouvert (n’excluant a priori la participation d’aucun citoyen) et public (excluant les décisions secrètes). Ensuite, ses modalités techniques sont multiples, mais la démocratie n’empêche pas la formation d’élites intellectuelles dans divers domaines, y compris celui de l’administration des communs (hauts-fonctionnaires, grands juristes). Bien entendu, ses écueils et ses falsifications sont aussi très nombreux. Ainsi, notre régime politique actuel n’est pas une véritable démocratie, mais une aristocratie élective et médiatique. De toute façon, aucune organisation politique n’est simple ni parfaite. Il faut choisir la moins mauvaise des solutions possibles, ce qui inclut de prévoir la possibilité permanente de corriger pour améliorer ce qui peut et doit l’être.
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Bernays c’est l’institut tavistock
https://www.youtube.com/watch?v=hV3MrmH6lh0
TAVISTOCK INSTITUT - Le Secret Le Mieux Gardé d’Amérique.
https://www.youtube.com/watch?v=62SoF9BFqrs
The Tavistock Agenda
Tavistok c’est surement aussi le coronavirus
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https://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/berner/8875
Tromper quelqu’un en racontant des balivernes ; leurrer.
https://www.idixa.net/Pixa/pagixa-1104211600.html
Le comportement de Freud peut sembler paradoxal. Il avait épousé la petite-fille du grand rabbin de Hambourg, Isaac Bernays, mais avait exigé d’elle qu’elle renonce radicalement à toute pratique religieuse. Il soutient qu’il ne se rattache à aucune religion, et pourtant n’a jamais renié son identité juive, et affirme à de nombreuses reprises son sentiment d’appartenance à ce peuple, dont il se déclare solidaire.
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Avec les verbes nous avons berner mais aussi duper au debut était le verbe.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Wilhelm_Marr
Friedrich Wilhelm Adolph Marr
Il est le fils unique du comédien et metteur en scène Heinrich Marr et de Henriette Catharina née Becherer.
a forgé le concept d’antisémitisme
déménage en 1839 chez son père employé au Burgtheater de Vienne en Autriche et travaille comme employé commercial dans des entreprises juives.
il fonde la « Ligue antisémite » dont la durée de vie sera courte
Il se plaignait du fait que l’antisémitisme moderne s’amalgamait au mysticisme et au nationalisme Allemand, condamnant les « chefs buveurs de bière », les crieurs de « Heil » de l’antisémitisme moderne ainsi que le cruel préjudice contre les écrivains et penseurs juifs.
Tout comme Freud il n’était pas juif ?
En fait il est la tète pensante du nazisme voir le fondateur dupant le monde.
Bernays hitler freud et goebbels ont du y trouver un inspirateur.
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