« Macron n’est pas un incompétent, c’est un traître ! » - Olivier Delamarche et Philippe Murer
Choose France : un écran de fumée
- Avec Olivier Delamarche
Analyste financier, économiste spécialisé en macro économie.
Co-fondateur de la lettre d’investissement Les Incorruptibles avec Sylvain Tiger
- Avec Philippe Murer
Économiste, Président et co-fondateur du Mouvement Politique Citoyen
Tags : France Economie Politique Entreprises Crise financière Emmanuel Macron
16 réactions à cet article
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Comment sait on si on se trouve dans un Ephad ou non ?
Ben c’est simple :
Si d’emblée on vous impose le port de protection antipipi ou anticaca , vous êtes dans un Ephad ...
Et forcément vous deviendrez gâteux , puisqu’on vous refuse les toilettes .
Sinon vous êtes dans une structure ordinaire , classique !
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@chantecler
la ’’structure ordinaire’’ accueille-t-elle les personnes fortement dépendantes ? -
’’ Y a plus de droits de propriété en France ’’
— >
? !!!
Je rêve !!!
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@JL
les 3 000 milliards de dette, ça découle pas directement du droit de propriété, peut-être ?
Pfff ! -
@JL
tu devrais développer ... ça pourrait être marrant ... -
@nono le simplet ( Jean Desmaison )
’’ tu devrais développer ... ça pourrait être marrant ...’’
— >
No pb.
Je citerai sans prétention à l’exhaustivité, 4 types de propriétés qui se portent merveilleusement bien :
la propriété immobilière (des immeubles), la propriété financière (des dettes), la propriété économique (des actions) et la propriété intellectuelle (des brevets et des marques).
Et qui rapportent respectivement des loyers, des intérêts, des dividendes et des royalties.
Et j’ajoute pour faire bonne figure que je n’oublie pas la propriété des droits acquis : les retraites et pensions de travailleurs.
Mais je dois citer ici le sage qui a dit : droits des pauvres, pauvres droits. -
@JL
la propriété financière (des dettes)
des avoirs et des dettes c’est plus ou moins pareil -
@nono le simplet ( Jean Desmaison )
la propriété des dettes, banane ! On parlait de propriété, et donc des détenteurs de la dette.
Mékilékon !
Il tient une couche encore plus épaisse que celle qu’il imagine sur ses interlocuteurs.
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Et Giscard, et Mitterrand, et Sarkozy, et Pompidou, et Hollande, et Chirac, que sont-ils ?
G. Pompidou : Arrivé au pouvoir suprême en 1969, après la démission de Charles de Gaulle, Georges Pompidou, ex-employé de la banque Rothschild comme Emmanuel Macron (on constate que le véritable pouvoir n’a guère évolué en 50 ans, ce qui, en définitive, est la seule chose réellement stable dans ce pays), pond la loi du 3 janvier 1973, également appelée « loi Pompidou-Giscard » ou encore « loi Pompidou-Giscard-Rothschild » (reprise, systématisée et aggravée depuis par l’article 123 du TFUE, Traité sur le Fonctionnement de l’Union Européenne de 2009), qui modifie les statuts de la Banque de France et donne le coup d’envoi d’une dette qui n’aura de cesse d’augmenter exponentiellement et, ainsi, de vampiriser toutes les richesses nationales produites.
F. Mitterrand : Deux ans après sa prise de fonction à l’Élysée en 1981, François Mitterrand trahit tout son programme en prenant le « tournant de la rigueur ».
J. Chirac : Jacques Chirac aura personnifié toute sa carrière une action politique dénuée de toute vision, mais tissée d’arrangements sordides (« détournement de fonds publics », « abus de confiance », « prise illégale d’intérêt », etc.). J. Chirac sera d’ailleurs (le seul président français) condamné en justice pour « détournement de fonds publics » et « prise illégale d’intérêt ». Il ne sera condamné qu’à deux ans d’emprisonnement avec sursis. La délinquance en cols blancs peut dormir tranquille. Il fut un temps où le manque de probité, même au plus haut niveau, était sévèrement sanctionné : sous l’Ancien Régime, l’infraction de détournement de fonds publics était punie de la peine de mort par pendaison. Ce rappel un peu extrême et légèrement ironique montre cependant combien l’exigence d’exemplarité et de probité était encore exigée à cette époque. Aujourd’hui, en matière répressive, c’est une relative impunité (euphémisme) qui s’est substituée à l’exigence d’exemplarité, et les « puissants » qui devraient être, plus que tous les autres, irréprochables, car leur fonction implique de hautes responsabilités sociales, économiques ou politiques, le sont finalement moins, voire même jamais. Après tout, que pourraient-ils bien craindre ?
N. Sarkozy : En 2007, à peine élu, Nicolas Sarkozy « s’assoit » royalement sur le « NON » des français au référendum sur le Traité Constitutionnel de 2005, en validant directement lui-même, et avec la complicité des pantins corrompus du Parlement (s’était plus vite fait), le Traité (scélérat) de Lisbonne, sa copie quasi-conforme.
F. Hollande : Rappelons toute l’hypocrisie dans les propos tenus par François Hollande en janvier 2012, à l’occasion du meeting du Bourget, lors du discours fondateur de sa campagne présidentielle : « Mon véritable adversaire, il n’a pas de nom, pas de visage, pas de parti, il ne présentera jamais sa candidature, il ne sera jamais élu et pourtant il gouverne. Cet adversaire, c’est le monde de la finance ». Pendant que François Hollande terminait son discours, le jeune Emmanuel Macron, futur Secrétaire général adjoint du cabinet du Président Hollande, mais encore banquier d’affaires chez Rothschild & Cie à ce moment-là, était à la City de Londres pour confirmer à ce « monde de la finance » que les mots de Hollande n’avaient pour but que de « rassurer » les électeurs, et qu’il n’était évidemment pas sur une ligne « dure » contre la finance (ça semblait évident avec « Flamby »). Mais surtout, et bien au contraire, la finance est l’amie de François Hollande. En effet, en 2016, Michel Jacob, banquier d’affaires et ancien Directeur Général de la banque Rothschild, racontait une anecdote étonnante : le jour où François Hollande, déçu par la perte de son siège de député en Corrèze, a envisagé en 1993 de devenir banquier d’affaires chez Rothschild. François Hollande et Michel Jacob se sont rencontrés plusieurs fois et Edmond de Rothschild semblait prêt à faire une place au futur président, mais à une seule condition : qu’il abandonne définitivement la politique. Chose à laquelle il n’a pas pu se résoudre, après plusieurs semaines de réflexion. Il est vrai que travailler chez Rothschild aurait demandé un minimum d’effort à François.
V. Giscard d’Estaing : Dès son élection à la présidence de la République en 1974, l’une des premières mesures que prend Valéry Giscard d’Estaing est de proposer l’abaissement de l’âge de la majorité électorale (et civile) de 21 à 18 ans.
« Rien n’est plus étranger à la sagesse que la jeunesse » écrit Louis Pauwels dans « Les dernières chaînes ». La jeunesse est l’âge de toutes les sottises, de toutes les exactions, elle est le bras séculier de tous les despotes et la matière première de tout militantisme extrême. Dans notre société démocratique et humaniste on encense la jeunesse (les adultes de demain), alors qu’elle est avant tout grégaire. C’est pour quoi les tyrans ont tant besoin d’elle.
Soulignons au passage que cette diminution de l’âge de la majorité va permettre la création de nouveaux et nombreux comptes bancaires.
Giscard est aussi le Co-fondateur, en 1976, de la « French-American Foundation » ce programme de formation des « Young Leader » (des traitres à leur Nation), ainsi qu’à l’origine, en 1978, d’une réforme majeure dans le domaine de l’immigration : la mise en place du « regroupement familial ». La politique d’intégration des étrangers transformera à partir de là, le modèle d’assimilation culturelle et d’adoption totale de la culture française selon la République « Une et Indivisible », qui « assure l’égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction d’origine, de race ou de religion », par un multiculturalisme, libéral, forcé, diviseur et communautaire, selon le modèle anglo-saxon, et conduisant à toute une kyrielle de malheurs sociaux, culturels, économiques et politiques, individuels ou collectifs : entre autres, dumping social, apparition et croissance, au sein d’un peuple, de tensions et de divisions ; perte de l’identité ; éradication brutale de la mémoire et de tous ses symboles ; déracinement et errance culturels ; perte des repères linguistiques que sont la grammaire et la syntaxe, donc de la capacité de bien structurer sa pensée si l’ethnie dominante est d’une autre langue ; réduction de la capacité à s’exprimer correctement pour être bien compris et participer pleinement à la vie collective ; ghettoïsation et paupérisation de pans entiers de la population les moins souples à s’adapter, etc.… sans parler des dangers sanitaires liés aux virus et autres germes inconnus qui peuvent être véhiculés dans ces échanges.
Suite-
@Étirév
Comptes qui auraient été créés à l’âge de 21 ans de toute façon... et qui du fait de l’abaissement de cet âge n’auront pas pu être créés à 21 ans. Bilan : match nul.Sacrée Etirev, aussi nulle en sciences, qu’en étymologie, et en simple calcul mental... Impayable.
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Je faisais référence à ça :
Soulignons au passage que cette diminution de l’âge de la majorité va permettre la création de nouveaux et nombreux comptes bancaires.
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@Gollum
Soulignons au passage que cette diminution de l’âge de la majorité va permettre la création de nouveaux et nombreux comptes bancaires.
et ça, c’est mal ! le profit c’est mal, la matière c’est mal, comme chacun sait, parce que les spiritualistes sont au dessus des basses considérations matérielles des simples mortels, hein ... folsavoir !
ce mépris de l’esprit pour la matière, c’est tellement bourge
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@Gollum
« Comptes qui auraient été créés à l’âge de 21 ans de toute façon... et qui du fait de l’abaissement de cet âge n’auront pas pu être créés à 21 ans. »Sauf que votre argument n’est pas valable, ni même logique, car l’abaissement de la majorité de 18 à 21 ans en 1974 a bien eu pour effet d’accroître d’environ 2,5 millions la population majeure du pays, et par voie de conséquence d’augmenter d’autant le nombre de personnes susceptibles de posséder leur propre compte bancaire.
Néanmoins, l’augmentation du nombre total de comptes bancaires n’a pas été équivalente à celle de la population majeure. Mais cela s’explique notamment par le fait qu’une grande part des jeunes de 18 à 21 ans bénéficiaient déjà d’un compte ouvert par leurs parents.
Alors avant de traiter quelqu’un de nul, vérifiez au moins que vous avez la capacité d’en juger.
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@pierrot19
Bon ok ça semble assez bien vu.. (en apparence)
N’empêche que si ça se trouve l’étirev n’y a même pas pensé elle a balancé le truc sans réfléchir, on a suffisamment d’exemples de sa part de nullité totale en sciences..
De toute façon un jeune de 18 ans n’a pas de pognon il ne travaille pas.. Donc un compte bancaire où il y met juste son argent de poche... bof..
Un jeune de 18 ans qui travaillait avant, son pognon il l’avait sur un livret A ouvert par ses parents, ou sur le compte parental, donc ça ne change rien en fait..
D’autre part je ne sais pas si c’était le cas à l’époque mais maintenant un mineur peut avoir un compte bancaire..
https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F21035
Quoiqu’il en soit, encore une fois, ça sert à rien si le dit mineur peut pas mettre de tunes dessus...
(Alors ne me sortez pas l’argent du trafic de drogue, à l’époque ça n’existait quasi pas)
Donc augmentation du nombre de comptes bancaires : oui
Mais augmentation d’espèces sonnantes et trébuchantes sur les dits comptes : euh ??... à voir...
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@pierrot19
né en janvier 1954 je n’ai ouvert un compte bancaire qu’en 1975 pour mon premier salaire, à 21 ans, donc ... par contre j’avais des copains de mon âge qui travaillaient depuis plusieurs années et ont ouvert un compte avant moi ... avec ceux qui, comme moi, n’avaient pas de compte nous étions un peu jaloux de les voir sortir leur carnet de chèques ... -
@Gollum
De toute façon un jeune de 18 ans n’a pas de pognon il ne travaille pas
je pense que c’est toujours le cas et en 1974 de nombreux jeunes de 18 ans travaillaient ... tu vis dans quel monde ?
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