Pendant que François Hollande, dans un meeting de Rouen prévu de longue date, taillait en pièces Sarko one et son Royaume dans un des plus beaux discours des deux derniers siècles (bravo à sa plume, inspirée), TF1 "invitait" (sic) Nicolas Sarkozy, pour le non-évènement de la décennie...
Monologue d'un "Français" (resic), "président de tous les Français" (reresic), s'adressant aux "Français" (rereresic) : bref, le disque est rayé, depuis longtemps déjà, tant l'imposture est criarde...
Son appel à une "force" dépassant le clivage droite-gauche au nom de l'intérêt général est misérable... Pendant cinq ans en effet, ses mesures et ses manières ont constamment montré la même direction : celle d'une présidence soucieuse des intérêts financiers de ses amis, de ses proches, de sa famille.
Loin de servir la France, comme il le clame et prétend "le refaire" (sic en grève pour cadences infernales), il a permis que la classe financière et ploutocratique s'en serve sans limites, au vu de tous.
Sa candidature du désespoir ressemble à un pari, qu'il ne saurait gagner, mais dans lequel il va jouer l'avenir de notre pays malgré ses maigres chances de rester au pouvoir, mais il s'en fout... (qui a dit Quet's ?)
La campagne présidentielle de Sarko c’est vraiment une machine à perdre ! Tout le monde le déteste, il est la risée. Il y va à reculons, on le voit qu’il va perdre, le pauvre, il ferait mieux de faire profile bas et de préparer sa reconversion pour vivre tranquilement auprès des siens...Ça fait pitié...