Victime des vaccins Covid-19 : la vie de Laure a basculé en 2021. Elle témoigne

Laure, 41 ans, mère de 3 enfants, commence à ressentir des douleurs et une intense fatigue. Le repos ne parvient pas à soulager son épuisement. Elle se dit qu’elle fait trop de sport et ralentit. D’autres symptômes apparaissent, comme des acouphènes, une perte de l’audition, des troubles neurologiques, neuropathiques ou encore une arythmie cardiaque.

L’errance médicale de Laure va alors débuter à partir de décembre 2021. Les médecins soupçonnent une sclérose en plaque ou un syndrome de queue de cheval (atteinte neurologique provenant de lésions au niveau des vertèbres lombaires). Aucun d’eux n’accuse la vaccination Covid-19 que Laure a fait deux mois avant ses symptômes. Afin de poursuivre les investigations et trouver une cause à sa maladie, Laure est même contrainte de recevoir une troisième dose de vaccin en janvier 2022, pass vaccinal oblige. Trois semaines plus tard, elle ne peut plus marcher.

En novembre 2023, un médecin interniste et un ORL lui posent un diagnostic : encéphalomyélite myalgique. Une maladie neurologique qui la prive d’énergie. Même parler ou marcher peuvent l’épuiser. Un TEP/IRM confirme un hypométabolisme de certaines zones de son cerveau. Laure souffre également d’un syndrome d'activation mastocytaire (SAMA). Son système immunitaire est complètement déréglé ce qui provoque des inflammations et des réactions allergiques incontrôlables. Ses acouphènes n’ont pas faibli, dorénavant accompagnés de bourdonnements. Elle a dû être appareillée des deux oreilles.

En juillet 2023, la pharmacovigilance reconnaît le rôle de la vaccination dans la survenue des événements. Bien tardivement pour un signal d’alarme. Laure ne peut plus travailler et a dû renoncer à la plupart des activités qu’elle aimait. Elle est reconnue handicapée à plus de 50%. Quarantenaire, elle ne se déplace plus qu’avec une canne ou en fauteuil roulant.