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Société en burn-out : pourquoi il n’y a (presque) que des pervers au pouvoir

Plongée dans les mécanismes de la gouvernance perverse
 - Avec Paul-Antoine Martin
Ingénieur et cadre dirigeant industriel, auteur de "Le temps de pervers" (éditions Max Milo)
 - Avec Jean-Dominique Michel‬
Anthropologue, expert en santé publique, essayiste, auteur de plusieurs ouvrages dont dernièrement “La fabrication du désastre” (éditions Marco Pietteur)

https://economiereelle.org/Les-francais-ne-sont-pas

Tags : Société Prospective et futur Précarité Psychiatrie Médecine




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8 réactions à cet article    


  • vote
    Gollum Gollum 11 avril 12:08

    Quand un pervers (Jean-Dominique Michel, "croyant" en la transidentité de Brigitte) s’essaie à vous mettre en garde contre la perversité d’autrui au lieu de s’occuper de la sienne..


    • 3 votes
      JL 11 avril 14:43

      ’’Quand un pervers (Jean-Dominique Michel, "croyant" en la transidentité de Brigitte)’’

      >

      Ce que nous dit l’intervenant auteur des mots ci-dessus, c’est que quiconque professe des idées différentes des siennes est un pervers.

       

      Dont acte.


    • vote
      pemile pemile 11 avril 15:15

      @JL " Ce que nous dit l’intervenant auteur des mots ci-dessus, c’est que quiconque professe des idées différentes des siennes est un pervers. "

      Loooooooooooool smiley


    • vote
      Gollum Gollum 11 avril 15:18

      C’est sûr qu’adhérer à la thèse Brigitte est un travelot révèle un esprit sain, pas du tout tarabiscoté et tordu, c’est clair. smiley


    • vote
      nono le simplet ( Jean Desmaison ) nono le simplet ( Jean Desmaison ) 11 avril 17:10

      @pemile
      l’agnotologue est plus con que pervers ...


    • vote
      nono le simplet ( Jean Desmaison ) nono le simplet ( Jean Desmaison ) 11 avril 17:33

      @nono le simplet ( Jean Desmaison )
      et comme dit Chabal, il a aussi le pâté qui a tapé dans la boite ...



      • vote
        rogal 12 avril 01:39

        Ne pas confondre les deux sens principaux de "pervers".

        Le sens chrétien : est pervers celui dont l’âme de détourne de Dieu et qui, en conséquence, commet le mal.
        Le sens freudien : est pervers le sujet dont le désir sexuel se détourne de l’objet "normal", à savoir le sexe opposé (homosexualité fétichisme ou autre).

        Pervertere, perversum  : se détourner complètement.



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