Mais pendant que François Fillon fustigeait dans son discours la « démagogie » du PS, une centaine de personnes manifestait aux abords du domaine de Méjanes près des Saintes-Maries-de-la-Mer, pour protester contre les déclarations stigmatisant les musulmans.
« Aujourd’hui, on est venus pacifiquement vous montrer que les musulmans de France ne sont pas responsables de l’insécurité comme on le laisse dire au sein du gouvernement », a indiqué une participante à RTL. Parmi les manifestants, de nombreux musulmans, certains brandissant leur carte de l’UMP.
Le Premier ministre, malgré leur demande d’être reçus, s’est éclipsé par une porte dérobée.
Mais pendant que François Fillon fustigeait dans son discours la « démagogie » du PS, une centaine de personnes manifestait aux abords du domaine de Méjanes près des Saintes-Maries-de-la-Mer, pour protester contre les déclarations stigmatisant les musulmans.
« Aujourd’hui, on est venus pacifiquement vous montrer que les musulmans de France ne sont pas responsables de l’insécurité comme on le laisse dire au sein du gouvernement », a indiqué une participante à RTL. Parmi les manifestants, de nombreux musulmans, certains brandissant leur carte de l’UMP.
Le Premier ministre, malgré leur demande d’être reçus, s’est éclipsé par une porte dérobée.
Mais pendant que François Fillon fustigeait dans son discours la « démagogie » du PS, une centaine de personnes manifestait aux abords du domaine de Méjanes près des Saintes-Maries-de-la-Mer, pour protester contre les déclarations stigmatisant les musulmans.
« Aujourd’hui, on est venus pacifiquement vous montrer que les musulmans de France ne sont pas responsables de l’insécurité comme on le laisse dire au sein du gouvernement », a indiqué une participante à RTL. Parmi les manifestants, de nombreux musulmans, certains brandissant leur carte de l’UMP.
Le Premier ministre, malgré leur demande d’être reçus, s’est éclipsé par une porte dérobée.
Nadine Morano a déclaré à propos d’un jeune Musulman :
?
"On ne fait pas le procès d’un jeune musulman. Sa situation, moi je la respecte. Ce que je veux, c’est qu’il se sente Français lorsqu’il est Français. Ce que je veux, c’est qu’il aime la France quand il vit dans ce pays. C’est qu’il trouve un travail. C’est qu’il ne parle pas le verlan. C’est qu’il ne mette pas sa casquette à l’envers. C’est qu’il essaie de trouver un boulot. c’est qu’on l’accompagne dans sa formation".