lire : Les bactéries sont des bactéries, les virus sont des virus, comme ils disent.
La théorie qui vaut pour les maladies à bactéries, aussi lucrative et
confortable qu’elle soit, ne vaut pas pour les maladies dites à virus
lesquelles comme chacun sait, n’immunisent pas.
Autrement dit, l’introduction d’un supposé virus dans la boucle n’apporte strictement aucune information pratique supplémentaire, ni en terme de recherche scientifique ni en terme de compréhension et donc de prévention, hormis, et c’est fondamental, pour soutenir le discours des marchands de vaccins, les seuls avec leurs actionnaires : à avoir intérêt à court-circuiter le principe d’Ockham. Et quel intérêt !!!
’’la tuberculose souvent attribuée à tort à un virus illustre ce lien : c’est une maladie de la pauvreté.... SALAUDS DE PAUVRES car la maladie est contagieuse !!!’’ — > Ben oui, ça se transmet qui’ils disent, aux membres d’une même famille : Tous logés à la même enseigne. Donc si un l’attrape en raison de sa misère, y a pas de raison que les autres y échappent en raison de la même misère.
C’est si dur à comprendre, ça ?
Les bactéries sont des bactéries, sont des virus.des virus. La théorie qui vaut pour les maladies à bactéries, aussi lucrative et confortable qu’elle soit, ne vaut pas pour les maladies à virus lesquelles comme chacun sait, n’immunisent pas. Virus ou pas virus, vous pouvez attraper autant de rhumes que vous voudrez, vous ne serez jamais immunisé pour autant. On peut croire qu’on est immunisé contre la grippe, en fait on est immunisé contre les maladies à bactéries qu’on attrape parce qu’on est déprimé immunitaire pendant l’épisode de rhume.
’’ Des vaccins à ARNm contre un virus qui mute tout le temps, c’est toujours plus de la même chose. On n’y est jamais arrivés, on n’y jamais arrivés. ’’
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« En essayant continuellement on finit par réussir. Donc : plus ça rate, plus on a de chance que ça marche. » Professeur Shadoko
Ne s’humilient-ils pas eux-même, en acceptant de facto deux décisions à leur détriment et venues d’en haut, des décisions qui pourtant se contredisent mutuellement : la première étant l’annulation de la première élection présidentielle au nom d’une supposée ingérence étrangère, la deuxième étant le refus d’annuler a deuxième pourtant entachée celle-là d’ingérence étrangère avérée ?