C’est techniquement très impressionnant, il faut le reconnaître.
Et c’est un peu facile de dédaigner l’aspect technique d’un jeu/film en le qualifiant « d’hollywoodien ». Bien sûr on sent qu’il y a beaucoup de fric investi derrière, mais c’est du fric bien investi : l’atmosphère est prenante, l’animation des personnages (joueurs ou non) surclasse un Skyrim (ç’a toujours été le point faible des Elder Scrolls) et l’IA ainsi que le moteur physique semblent être au service du gameplay, même si je soupçonne certains passages d’être scriptés (ie. prévus à l’avance selon un déroulement déterminé) comme la scène de l’accident.
Pour la petite histoire, en informatique un watchdog est un élément qui s’assure que le système ne tourne pas boucle sur lui-même, en le redémarrant (violemment) s’il juge qu’il est hors contrôle.
Et si les comportements égoïstes vis-à-vis de l’Autre étaient justement un critère primordial de sélection naturelle, sans lequel nous serions aujourd’hui restés deux amibes, incapables d’assimiler un concept tel que la moralité ? Vous préféreriez le Néant à un monde partiellement immoral ?
L’existence de races n’est pas une conclusion, c’est un constat.
De même, on ne "démontre" pas l’existence des couleurs, on les étudie. Que l’on nomme arbitrairement "rouge" une certaine portion du spectre chromatique et "orange" la suivante, est absolument sans importance, tant qu’on garde à l’esprit l’ensemble des réalités physiques sous-jacentes.
Ainsi je ne hiérarchise pas les êtres humains en parlant de races, pas plus que je ne hiérarchise le bleu par rapport au vert en nommant ces 2 couleurs.
Historiquement, c’est l’utilisation politique des théories racialistes du XXème siècle qui était condamnable, pas les théories en elles-même. Tout ce que qu’on peut reprocher à une théorie scientifique, c’est d’être erronée dans ses observations et/ou ses conclusions. On démontre aujourd’hui que c’était effectivement le cas.
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Le post suivant est assez intéressant, en ce que vous faites du suprémacisme à l’envers, mais du suprémacisme quand même. C’est encore plus flagrant à la ligne suivante, où vous planifiez littéralement le destin génétique de l’espèce humaine : « Mais nous ne VOULONS pas, c’est pour ca que les races, tant que l’homme sera humain, n’existeront pas !! ».