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Masque de mort

Masque de mort

"Ce qu'on appelle une raison de vivre est en même temps une excellente raison de mourir."
"La tragédie de la mort est en ceci qu'elle transforme la vie en destin".
"Celui qui n'est pas prêt a affronter la mort au terme de sa vie, ne sera pas en paix quand tombera la nuit".

Tableau de bord

  • Premier article le 29/11/2012
  • Modérateur depuis le 18/11/2013
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Derniers commentaires




  • vote
    Masque de mort Death note 19 septembre 2016 20:54

    La loi est stupide mais c’est la loi.



  • vote
    Masque de mort Death note 19 septembre 2016 20:52

    75 % du marché mondial de semences est contrôlé par seulement dix multinationales !



  • 3 votes
    Masque de mort Death note 18 septembre 2016 11:34
    Hommage à David Pujadas et Léa Salamé, journalistes intransigeants

    Le 6 septembre dernier, « Arrêt sur images » publiait une enquête consacrée au « bras de fer entre [Michel] Field et Envoyé spécial » à propos de la diffusion d’un reportage consacré à « l’affaire Bygmalion ». Michel Field aurait tenté à plusieurs reprises de décaler la diffusion de l’enquête d’ « Envoyé spécial » afin qu’elle n’ait pas lieu durant la « primaire de la droite et du centre ». La question d’éventuelles pressions de Nicolas Sarkozy et de son entourage s’est évidemment posée. 

    Heureusement, « L’Émission politique » du 15 septembre a été l’occasion d’y voir plus clair. David Pujadas, Léa Salamé et leurs équipes attendaient en effet Nicolas Sarkozy au tournant, et s’étaient donné les moyens de confronter l’ex-chef de l’État aux accusations de tentative de censure d’un reportage peu à son avantage. Rien que de plus normal : les deux journalistes travaillent pour France 2, et l’idée que Nicolas Sarkozy ait pu faire pression sur la chaîne pour saborder le travail de certains de leurs confrères et consœurs leur était insupportable.

    C’est David Pujadas qui a ouvert le bal, dès le début de l’émission :

    - « Monsieur Sarkozy bonsoir. Avant d’entrer dans le vif du sujet et de vous interroger sur votre analyse de la situation française et sur vos propositions, nous nous devons, par acquit de conscience, de vous poser une question qui fâche. Depuis plusieurs jours, une rumeur tenace circule, selon laquelle votre entourage aurait tenté de faire reporter, voire annuler, la diffusion d’une enquête concernant l’affaire Bygmalion. Qu’avez-vous à répondre à ces accusations ? »

    Face aux tergiversations de Nicolas Sarkozy, Léa Salamé, connue pour sa pugnacité, n’a pas hésité à relancer le candidat à la primaire :« Monsieur Sarkozy. Comme nous sommes des journalistes sérieux, nous avons vérifié que les témoins cités par différents médias n’étaient pas imaginaires. Et ils ne le sont pas. Rien ne prouve qu’ils disent vrai, mais le moins que l’on puisse dire est qu’on ne voit pas pourquoi ils inventeraient une telle histoire. Pour le dire autrement : les rumeurs ont l’air d’être fondées. N’est-il pas gênant, lorsque l’on aspire aux plus hautes fonctions de l’État, de mettre ainsi à mal l’indépendance d’un média, a fortiori de service public ? »

    Face aux dénégations de Nicolas Sarkozy, « L’Émission politique » a alors abattu sa meilleure carte : Élise Lucet a soudainement fait son entrée sur le plateau, accompagnée de l’un des témoins Le piège s’est alors refermé sur l’ex-Président de la république, et l’honneur du journalisme et du service public a été sauvé.Ou pas.

    Nous avons malheureusement dû inventer ces séquences, puisqu’elles n’ont pas eu lieu. 

     Alors que certains commentateurs soulignent aujourd’hui que Nicolas Sarkozy aurait été « malmené », voire même « harcelé » au cours de « L’Émission politique », ce qui mérite d’être discuté, une chose est certaine : David Pujadas et Léa Salamé ont soigneusement évité d’interroger l’ex-chef de l’État à propos d’une « affaire » qui ne devrait pourtant laisser indifférent aucun journaliste en général, et aucun journaliste de France 2 en particulier.

    Hommage donc à ces deux intervieweurs intransigeants qui, par leur silence assourdissant sur cette « affaire » de censure, nous rappellent à quel point la lutte pour une véritable indépendance des journalistes est plus que jamais d’actualité. 



  • 4 votes
    Masque de mort Death note 16 septembre 2016 11:39

    Avec cette logique, on pourrait dire ça de n’importe quel groupe social qu’il fait pencher la balance à partir du moment où l’on regroupe ses votes, même les SDF ,si on retire les agriculteurs , les Bretons ou les retraités qu’est ce que ça donne ?Faire pencher la balance ça ne veut rien dire, tout vote fait pencher la balance. 

    Et puis le chiffre de 93 % des musulmans, c’est des carabistouilles car il ne tient pas compte de l’abstention lors de la dernière présidentielle. 

    Il n’y a que 60 % du corps électoral musulman qui a voté lors du second tour et 93 % de ces votants ont fait barrage à Sarkozy en votant Hollande, ce qui fait en tout 55 % du corps électoral musulman qui a voté Hollande. 

     

     



  • 4 votes
    Masque de mort Death note 15 septembre 2016 18:13
    Prénoms "français" : quand Zemmour raconte n’importe quoi. « C’est la rentrée : Éric Zemmour veut vendre des livres. Et pour vendre, quoi de mieux que de surfer sur les haines du temps en se saisissant d’un sujet qui n’en est pas un pour faire monter la mayonnaise en tapant à nouveau sur sa cible préférée, les musulmans de France. L’enjeu ? Après leur nourriture et leurs vêtements, voilà qu’il s’intéresse à leurs prénoms. Et raconte une nouvelle fois n’importe quoi.

    Sur LCI le 12 septembre, il s’appuie sur toute la rigueur de la loi, et pas n’importe laquelle : une loi de la grande époque napoléonienne s’il vous plaît : "Un prénom français, c’est un prénom chrétien, cela vient d’une loi établie par Bonaparte » et abrogée (déplore-t-il) en 1993.

    Le problème, c’est qu’Éric Zemmour s’arrange joyeusement avec la réalité d’un document historique, pariant sur le fait que les journalistes en face n’ont évidemment pas le temps ni les moyens de vérifier ses affirmations en direct. La loi qu’il évoque est pourtant un tantinet différente.

    La fameuse loi qu’évoque Zemmour existe bel et bien. C’est la loi n°2614 du 11 Germinal an XI, ou plus simplement du 1er avril 1803, « relative aux prénoms et aux changements de noms ». N’en déplaise à Éric Zemmour, il n’y a pas l’ombre d’une quelconque référence aux « prénoms chrétiens »Mais la loi parle bien DES calendriers et pour cause :  le calendrier en vigueur N’EST PAS catholique ; c’est le calendrier révolutionnaire et ses prénoms savoureux : Philogon, Tydrique ou Télesphore pour les garçons ; Rusicule, Vénéfride ou Egobille pour les filles.

    Mieux : l’autorisation d’avoir recours aux « personnages connus de l’histoire ancienne » autorise de fait l’usage des prénoms de l’Antiquité grecque, romaine ou ... persane : on doute que Sadi Carnot, dont le prénom vient d’un poète iranien, ait ainsi pu devenir président de la République en 1887avec un prénom illégal… »

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