Comme quoi un ancien ouvrier plein de bon sens et qui connaît son sujet peut parler de manière pragmatique et équilibrée d’un sujet que les enfumeurs bullshiteurs de la haute administration ne maîtrisent qu’au travers d’ "en-même-temps" stériles distillés par les lobbyistes des Mines tout à leur pantouflage atomique.
Quand on sait que tous ces crétins diplômés méprisent les gens du peuple, ils feraient bien d’en prendre de la graine. Mais c’est trop demander. Sans aucune vision ni stratégie, ils continueront à se gaver d’argent public sans prendre jamais la moindre décision.
Sur le fond, c’est l’évidence du ridicule de ces "journalistes" propagandistes donnant leur avis sur tout en détournant et falsifiant l’information. Les chiens de garde, terme encore bien trop flatteur pour cet engeance, sont démasqués depuis longtemps.
Il y a sans aucun doutes des phénomènes étranges et mystérieux qui échappent à notre compréhension, qu’ils soient issus de notre cerveau délirant ou d’une réalité mystique et transcendante.
Ce qui est étonnant avec ces croyants bienheureux, c’est qu’ils attribuent ces phénomènes à leur conte religieux comme s’il était la seule et unique histoire que les hommes se racontent pour décrire le Mystère. Une telle conviction, vue d’un esprit rationnel en proie au doute mais qui n’a pu s’abandonner à la facilité et au confort de la croyance, est déconcertante.
Quand bien même un Jésus m’apparaîtrait, rien ne me permettrait d’affirmer que Jésus me serait apparu. Car non seulement notre réalité amènerait à en douter, mais toute autre réalité hypothétique dont nous ne savons rien, autoriserait les plus extravagantes manipulations de nos petites consciences.
La plupart des "œuvres" d’art contemporain sont une forme d’expression par procuration. L’artiste, n’ayant rien à dire et de toutes façons aucun talent ni technique pour dire quoi que ce soit, pond une grosse merde.
Et la-dessus arrive l’ "amateur" éclairé, tout enduit de culture et de snobisme, prétentieux et supposément intellectuellement supérieur. Et lui, le cultivé bobo mondain, va trouver un sens à la grosse merde. Et même plusieurs sens. Des tas de sens. Et il va pérorer, étaler sa confiture culturelle, trouver des références croisées entre cette merde et des tas d’autres, citer des noms, des tendances, des NYC, TYO, LON où il vu des merdes.
Il est fier l’’ "amateur", et son égo s’est enflé à s’écouter parler. La vertu première d’une grande partie de l’art moderne : donner une légitimité aux petites vanités.
Quelle belle et juste pensée que celle de Michèle Sibony. On avait presque oublié qu’il existe des juifs lucides et intellectuellement honnêtes. Merci Madame de le rappeler.
Quand Michel Boujenah vient pleurer sa victimisation dégoulinante sur un plateau de télé bien choisi, je dois dire qu’en effet je le déteste. Ou plus justement, je déteste ce qu’il dit.
Il se range sans doute lui aussi dans le camp d’Israël dont les crimes et exactions provoquent une haine justifiée qu’il amalgame avec la haine des juifs dans une hypocrisie grossière sur fond de malhonnêteté et d’intérêts communautaires. Le pire c’est qu’il est probablement sincère.
Au final, c’est bien cette victimisation geignante et rabâchée qui implique une culpabilisation perverse de tous les "gentils" qui, au-delà du comportement de l’état juif, suscite un antisémitisme réel.
Nous, les "gentils", aurions de meilleures et plus objectives raisons de nous sentir victimes des banques et du pouvoir financier de la communauté et de son influence disproportionnée sur les élites dirigeantes.