"HS : je comprends mieux cet intérêt pour mes couilles, ou plutôt je valide...."
Je ne sais pas ce que tu valides, puisqu’il s’agissait de faire une évaluation de tes capacités pédalistiques, de non svèrement burné, dont les attriubts ont été mis é ma par un casse-couilles fier de l’être, moi
"Vous faites
l’impasse sur le fait que certaines personnes ne croient pas que le rapport
Risque/Avantage soit en faveur de la vaccination ; vous faites comme si
cette position n’existait pas et que l’absence de vaccination pouvait seulement
être mise sur le compte d’une négligence. Or, ce n’est pas toujours un oubli
mais parfois un refus."
Et les Témoins de Jéhovah
refusent la transfusion sanguine, les catholiques authentiques refusent la
contraception mécanique et chimique, on est dans le domaine des croyances où
les croyants assument les conséquences de leur choix, la mort pour les uns, une
grossesse pas forcément souhaitée pour les autres.
Et nous sommes tous, tout
au long de notre vie, conduits à pratiquer ce genre de pesée d’intérêts. Avec
toute la subjectivité dont nous sommes capables sur la base de nos préjugés, a
priori, idées reçues. Mais un refus n’est pas légitime en soi, du seul fait que
ce soit un refus. Et le refus d’assumer les conséquences négatives de refus en
dit long sur le debré d’égocentrisation de certains individus.
@wendigo 29 juin 07:06
« … et
de votre philosophie, il en va de même pour les migrants qui chavirent en
méditérranée je suppose ! «
Evidemment, N’étant ni chrétien ni communiste,
je ne crois pas plus que tous les hommes sont frères, qu’ils ne sont camarades.
Je n’oublie pas non plus que ces prétendus désés
« Et
pour ce qui est des vaccinés qui se sont chopé la sclérose en plaque à cause du
vaccin de l’hépatite B, qu’elle est votre position, laisse crever, laisse pas
crever ? »
Ma position est inamovible
et archicohérente : les responsables paient. En cas de vaccination obligatoire,
ça pourrait même être l’Etat, s’il était établi que l’indemnisation des sclérotiques,
coûte moins cher que la prise en charge d’hépatiques ayant développé une cirrhose
ou un cancer.
« non
parce que si l’on regarde depuis votre fenêtre, il l’aura bien cherché à se
faire vacciner, donc il assume ? j’ai juste ou vous vous rendez compte que
vous êtes à coté de vos tongs ? »+
Parce que vous êtes hostile aux vaccins, vous
partez du principe que quelqu’un qui se fait vacciner prend un risque évitable et
qu’il doit être sanctonné en conséquence. Moi, je suis favorable aux vaccins et
j’estime qu’un type qui s’est fait vacciner a pris une précaution et qu’il doit
être aidé si cette précaution s’est retournée contre lui. C’est aussi simple que
cela.
Vous-même quand vous vous rendez dans un pays
à risques de fièvre jaune et/ou de choléra – si tant est que vous vous y rendiez,
vous faites comment, vous trafiquez vos documents ou vous vous faites vacciner quand
même ?
« Cette affirmation est archi
fausse les frais de secours ou de recherches des excursionnistes et des
grimpeurs sont pris en charge par la collectivité »
Alors n’allez
surtout pas creuser sur Internet, ce serait vraiment dommage d’entamer une aussi
belle certitude.
"au début ça parait logique mais si on poursuit le raisonnement : on ne
soigne plus les cancers de ceux qui ont fumé, les cirhoses de ceux qui
ont bu, les jambes cassées de ceux qui font du ski ( risque inutile le
ski ) ni le rhume de celui qui est sortit sans son bonnet pas plus que
le diabète de celui qui bouffe des hamburger ................etc."
C’est à quoi tendent les intégristes de l’écologisme et je vois, depuis longtemps, se pointer le temps où la maladie sera, sauf exceoption, considérée comme un comportement anti-social.
Malgré l’explosition des coûts de la santé, ce n’est pas facile à mettre en place. Compte tenu des lourdes taxes qui frappent les fumeurs et les buveurs, l’Etat n’est pas en position d’en remettre une couche supplémentaire en frappant des gens qui contribuent à remplir ses caisses.
Avec les accidentés du ski, c’est un tout un pan important de l’économie qui est concerné. Mais ici pour être intégralement cuvert, il faut contracter des assurances complémentaires qui, nous poiuvons faire confiance aux assureurs, ne sont certainement pas déficitaires.
S’agissant enfin du hamburger - comme métaphore -, on constate que la propagande anti-sucre, anti-graisses animales et anti-viandes tourne déjà à plein régime. Toutefois, comme elle s’attaque désormais au patrimoine culinaire français, l’Inquisition alimentaire avance masquée et fait encore dans le feutré.
Mais on peut craindre le pire quand on voit la place croissante qu’occupent les végans dans les médias,,,
Je ne vous vole pas dedans, vous n’avez pas bien compris. Je m’en tiens à des principes.
Moi, la gonzesse qui entame l’ascension du Mont Blanc en sandalettes et en t-shirt, je n’ai rien à y redire, sauf que je trouve inacceptable que des sauveteurs risquent leur vie pour aller la récupérer.
Autre exemple. Dans l’ancienne Chine, à ce qu’on m’a raconté, il y avait un principe que je trouve très sain : si vous empêchiez quelqu’un de se suicider, vous en deveniez responsable jusqu’à la fin de ses jours.
Je ne défends pas l’industrie pharmaceutique, je sais que ce sont des salauds qui profitent de tout, même de maladies qui n’existent pas, mais ça ne déresponsabilise en aucun cas le particulier.
Et le jour où j’ai ramené une hépatite A de Thaïlande, j’ai eu une année de régime sec et maigre pour regretter de ne pas m’être fait vacciner avant de partir. Mais ça n’a rien coûté à personne, il n’y avait qu’à laisser faire la nature.
Donc, vous partez dans un pays à riques, faites-vous vacciner contre l’hépatite A, et n’oubliez pas le vaccin contre le palu, j’ai connu un couillon de quarante ans, costaud et tout, qui a failli y laisser sa peau. Mais enfin bon, là, c’est lui qui serait mort. En laissant une femme et deux gosses. C’est con quand même
Pour être claire et bien comprise, je voudrais préciser encore une chose : je n’aurais rien contre la vente libre d’héroïne dans les supermarchés, à la condition que, le cas échéant, on laisse les overdoses suivre leur cours sans hospitalisation.