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ETTORE

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  • 1 vote
    ETTORE 9 mars 15:32

    @Mao-Tsé-Toung
    Un jeu qui vient d’être tarifé à 800 Milliards.
    Et qui vas payer, le tapis ?



  • 1 vote
    ETTORE 9 mars 15:30

    Se sert, se sert....

    Disons qu’il "s’essaye", mais qu’au vu de son CV plutôt lamentable, avec tant d’échecs retentissants, d’insultes, et de voltes faces....A la clé....

    Disons, que son handicap est plus grand, que son égo, pourtant déjà bien encombrant.

    Il semble oublier( ou fait preuve d’amnésie sous médocs ou poudre blanche)les claques, et foutages de gueule, dont il a fait l’objet, par TOUS les grands du monde.

    Et faire le forcing, pour se propulser à la tête d’un conglomérat de pays, comme une deuxième tête de décision....Il faudra compter, sur une désespérance profonde de ses futurs " amis sous dictature militaire" pour espérer, grimper les marches, autrement qu’à genoux, pour faire pénitence de toutes ses débilités, qui lui restent attachées, et qu’ils acceptent ce tintamarre d’hypocrisie, dont ils savent, qu’il peut se retourner à tout moment contre eux.

    On ne plante pas, au somment d’une dictature, une girouette qui donne le sens du vent. On y mets une fixe, QUI VEUT LE VENT, dans le sens, DE SES intérêts.



  • 1 vote
    ETTORE 26 février 19:29

    Il est juste apprécié pour ce qu’il vaut.

    Pas pour ce qu’il pense être !

    Alors si les grandes portes, c’est pour le Roi....

    Lui est passé..... par la porte des livreurs.

    C’est dire, l’équivalent en estime que lui porte Trump, ni plus, ni moins, qu’ à un livreur de Mac Do !



  • 3 votes
    ETTORE 26 février 11:14
    ETTORE 26 février 10:32

    Vous je ne sais pas, mais pour ma part, pour ce que j’en ai vu et retenu de

    « l’entre-tiens » entre Trump et Macroneux....

    Un sacré malaise, entre faux nez forcé, et touche touche de genoux à répétition.

    Un gamin qui veut plaire à sa nourrice, ne se serait pas comporté autrement.

    Je ne sais qui a appuyé sur les parties grasses de l’autre....

    Mais tout était faux ! Louche ! A mi chemin de papouilles lubriques, d’un sdf qu’on héberge, et qui se sent obligé de CONplaire, au sourire requin, alors que l’autre, n’as visiblement, qu’ une amitié de façade, et joue le même scénario, que le débilitant à couches, et même le pousse à se comporter en ânifiant sa position.

    Bref ...C’était glauque, comme un bar à pute enfumé, avec des clients pas trop conscients, que le monde regardait ce peep show, spécialement monté, pour honorer un représentant fort peu représentatif ( à part de lui même) d’une situation qui risque de virer à plus dramatique encore.

    Les deux n’étaient visiblement pas au même niveau d’attente de prise en compte des réalités.

    Il est possible que Trump ait accepté cette visite du « sommet » ( sommé) français, par ce que il trouve une utilité, à fractionner encore plus cette europe, à plusieurs têtes, et dont les hyènes, bouffent à tous les râteliers.

    A part cela, je ne vois aucun bénéfice, à cette « sauterie hilarante », si ce n’est la façon de faire comprendre à Macroneux, que ce qu’IL dit, il n’en à rien à battre, mais qu’il se contente de la sonorité de la langue française, comme seul plaisir.

    Cela, en des termes gracieux, sous bonne blague, a été dit, et bien exprimé !

    Mais bien sûr, notre Bavard national, à pris cela comme un compliment à déguster.



  • 1 vote
    ETTORE 29 janvier 14:35

    La posture coute que coute !

    C’est ce qui motive pas mal de gens, et évidement nos si chers pipolitiques.

    Vous n’êtes pas à la hauteur, de votre charge ? Peu importe !

    Une critique acerbe, un " moi je " balancé comme toute évidence de supériorité, et personne ne viendras vous demander de prouver, par quel miracle, quand vous étiez au pouvoir, vous avez conduit le pays au quatrième dessous !

    Vous remarquerez, que ce sont les mêmes, une fois leur " grandeur d’opinion personnelle " consommée, qui se targuent d’un rapprochement avec les moins que rien qu’ils ont critiqué, et cela, à la première occasion de prébendes honorifique ou autre.

    Nous n’étions déjà pas des flèches, politiquement parlant, mais nous voilà maintenant, relégué au rôle de la tortue, et même, à celle, qui s’est mise sur le dos !

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