Ben je vois pas le problème cher ami ? Nous pouvons, les uns et les autres, être en désaccord avec Jean Robin, en l’occurrence, il va de soi que le Système médiatique perfusé à la dépêche AFP ne risque pas de rendre compte de son livre... Partant, qu’il relaie ses propres interviews sur AV ne me parait pas choquant : au contraire. D’ailleurs il a l’air pas mal ce bouquin... ;)
La plupart de ceux qui se flattent d’être des "hommes d’action" ne sont que des bureaucrates heureux de tenir leur rôle dans la course au désastre. Et tandis que le raz-de-marée approche, l’imbécile recule en hurlant, tout comme le fou courant vers lui. Le sage creuse sa tombe en silence.
Encore une de ces polémiques affligeantes dont la France communautariste - licratisée, mrapisée, act-upisée, etc, etc, etc. - a désormais le secret. Forcément, si le clivage cesse d’être le seul clivage objectif, social, c’est-à-dire le clivage riches/pauvres, alors tout devient clivage dans une France sociétale de Nombrils hostiles agglutinés en troupeaux rivaux. Quenelle à Bedos, écrit quelqu’un sur ce fil. Je ne trouve pas ; même si telle est peut-être aussi l’intention subtilement retorse des plaignants... La quenelle étant justement un geste "universaliste" à deux titres au moins : comme signe d’un ras-le-bol populaire généralisé dans la plupart des cas ; comme bras d’honneur anti-communautaire dans une moindre mesure. Autant j’ai trouvé sa chronique très faible, autant je trouve la réponse de Nicolas Bedos assez juste, et pas seulement quand il se qualifie lui-même de "petit Molière de supérette" : mais qu’attend-il pour pousser son coup de gueule jusqu’au bout - au dessus du soleil...
Faire s’entretuer les Pauvres... décidément, le Pouvoir est trop fort. Quelque part, les gueux méritent leur sort... On n’a pas fini de se marrer !
Le plus marrant, c’est la vidéo numéro 2... Voir tous ces crétins d’animateurs du Show désemparés, tenter de ramener une mère de famille aussi manifestement indignée qu’inoffensive, dans le droit chemin des soumis, sur la voie royale des larbins... Ils en bredouillent d’horreur, les pitoyable cons tiraillés entre le la moraline du service et le bon sens des gueux - entre leur gagne-pain et leur audimat ! Le grand écart non stop devient écartèlement fatal pour tous ces trapézistes de la lèche qui, à force de mouiller le maillot de leurs sueurs froides, et tombent le masque.