• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV Mobile

Laconicus

Laconicus

Concis mais entier.

Tableau de bord

Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 0 1862 0
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0


Derniers commentaires




  • 3 votes
    Laconicus Laconicus 24 mai 2020 20:14

    @Ozi

    "La marionnette quand à elle passe dans un premier temps par la peur (le silence) puis la honte (d’avoir été manipulé) avant d’enfin ressentir ce sentiment de liberté.. Ce n’est qu’a ce moment là que le sentiment de "devoir" se manifeste, cette volonté de libérer toutes les autres marionnettes souvent inconscientes de leurs états."



    On croirait un article sur "le danger des sectes" dans un magazine féminin des années 1990.  smiley  smiley


  • 1 vote
    Laconicus Laconicus 24 mai 2020 20:11

    @Ozi
    "La séparation entre le marionnettiste et la marionnette est rarement respectueuse et respectable ou alors c’est qu’elle n’a pas vraiment eu lieu."

    Cette image de marionnette ne correspond pas à la personnalité de Vincent Lapierre. Je ne crois pas non que Soral soit un marionnettiste.



  • 2 votes
    Laconicus Laconicus 24 mai 2020 18:28

    @micnet
    "Il y a tout de même quelque chose qui me surprend chez quelqu’un d’ intelligent comme lui, c’est cette capacité à se brouiller avec ses collaborateurs pourtant talentueux, Lapierre en tête de liste. Soral est décidément son pire ennemi car il se saborde lui-même en faisant ça et je ne m’explique ce genre de comportement conflictuel permanent avec ses (anciens) collaborateurs que par un processus d’auto-destruction."

    Je partage cette impression. Je suis d’ailleurs à peu près certain que Vincent Lapierre (qui semble bien plus équilibré) ne se retournerait pas contre Soral si celui-ci ne pratiquait pas la médisance à son encontre. La séparation aurait pu s’opérer de manière respectueuse et respectable. Mais il y a une faille affective chez Soral qui prend la forme d’une possessivité infantile, colérique et tyrannique. Je précise que ce que je dis là ne cautionne en rien l’acharnement judiciaire dont il est l’objet, qui est un autre sujet. 



  • 3 votes
    Laconicus Laconicus 23 mai 2020 17:04

    Excellente remarque à 16 min 20s de la vidéo : le concept de "conspirationnisme" est souvent utilisé pour détourner l’attention des faits évoqués dans un énoncé et les reporter sur une hypothétique maladie mentale de l’énonciateur.

    Cette supercherie est rendue possible parce que le grand public n’est pas capable de reconnaître un véritable comportement paranoïaque.

    L’homme de la rue aura donc tendance, par confort et paresse mentale, à trouver "parano" toute personne qui met en cause une version officielle ou majoritaire. C’est le moyen commode de se débarrasser d’une inquiétude. 

    Ceci est très bien illustré par un excellent dessin de J-P Petit : 
    https://2.bp.blogspot.com/_IRcWRowXViE/SSgRqL97AbI/AAAAAAAAAq4/K9dUg1TvIb0/s 1600/cochons.jpg



  • 1 vote
    Laconicus Laconicus 23 mai 2020 16:44

    "– La personnalité paranoïaque est classiquement caractérisée par trois traits comportementaux principaux :

    • Hypertrophie du moi ou autophilie : la surestimation de soi s’exprime par l’autoritarisme, l’orgueil et l’égocentrisme ; toujours sûr de son bon droit et de ses opinions, il veut les imposer aux autres ; peu affectif, il s’enorgueillit d’être toujours objectif, froid et rationnel.

    • Fausseté du jugement : elle explique l’absence d’autocritique. Le raisonnement, revendiqué comme très logique, repose en fait sur des a priori empreints de subjectivité (pensée paralogique). La critique d’autrui est rejetée même lorsqu’elle est justifiée (psychorigidité). Le sujet paranoïaque ne tient en effet pas compte des arguments d’autrui, ni du contexte général de la situation ; il cherche davantage à imposer ses vues qu’à posséder une plus juste idée des choses.

    • Méfiance et susceptibilité : le paranoïaque vit dans l’attente d’être trompé (méfiance) ; il s’attend à ce que les autres l’exploitent, lui nuisent ou le trompent, même si aucune preuve ne vient étayer ces attentes. Il se sent facilement insulté, dédaigné ou blessé, et se froisse rapidement (susceptibilité) ; il garde rancune et ne pardonne pas facilement. Sa sensitivité est à la limite de l’interprétation délirante, mais la conviction n’y est pas aussi absolue." 

    https://www.sfmu.org/upload/70_formation/02_eformation/02_congres/Urgences/u rgences2008/donnees/pdf/008_walter.pdf

Voir tous ses commentaires (20 par page)

Les thèmes de l'auteur


Publicité


Publicité


Palmarès

Publicité