Quelle décence tu te permets en traitant cette dame de sac à patates et autre épouvantail. Puis-je traiter ta femme en mini-short de putain en chaleur ? Je pourrais mais je la respecte. D’ailleurs ce matin, je lui ai tapé la bise avec respect.
Voir une femme de ménage voilée ne te dérange pas plus que de voir ta fille admirer une soit-disant musulmane à la Débilla et à la Dati.
Ma langue parle la tienne mais la tienne parle-t-elle la mienne ? Tu ne veux pas frayer avec n’importe quoi contrairement à l’animal en face, plus proche du sol que du ciel, il demande pardon au lieu de demander l’autorisation. Tu ne te vois pas entrain de bégayer faute de pouvoir assimiler les images que je ne cesse de dessiner sur ce mur. Tu finiras, tout comme le font tes semblables, par baisser les yeux, ma lulu, à force de vouloir défier l’impitoyable, à supposer que tu sois seulement de taille.
Je te sens physiquement déboussolé, tu n’encaisse pas autant que tu voudrais le faire croire. L’endurance n’est pas ta qualité première. Je doute même que tu sois en mesure d’honorer convenablement ton épouse. Plus tu me "vouvoieras", plus ma droite sera foudroyante.