Le poulpe entartré

Non, bien sur que non !

Cet ignoble personnage fait toujours partie de l’effectif avec son portable, sa bagnole de fonction et ses stocks options. Comment se fait il qu’un tocard pareil se soit retrouvé à la tête d’un service stratégique de l’entreprise ? Incapable d’avancer quoi que ce soit comme élément à défaut d’argument NOUS SAVONS ! Pas étonnant que la boîte se vautre commercialement, que le nom des voitures Renault soit assimilé à du bas de gamme, voire pire, à de la camelote. Les concurrents nombreux n’ont jamais pu imaginer que c’était le binz à ce point, dans cette entreprise. Le cadre licencié n’a pas eu le réflexe de faire de l’humour (c’est compréhensible) et d’avouer qu’il avait vendu la future Renault de l’après pétrole, aux chinois, celle avec des pédales.

Non ! Pas ça ; pas lui, l’écolo verdâtre.

Il est bon pour l’hospice et ceux qui l’ont ressorti pour l’amener devant ce micro sont des manipulateurs merdiatiques. Il est à l’évidence devenu gateux l’ex reporter.

Un vrai naufrage.

Tout à fait d’accord avec votre constat. Le dit "Barbier" nous barbe en effet. Les poncifs foireux, les arguments vides, la gloriole cocoricotesque à deux balles, ses réflexions élaborées comme une chantilly tiéde, bref, de la belle daube faite main. De l’esbroufe à tout va, il faut brasser de l’air pour se donner un semblant de contenance et de contenu. Peine perdue, la communauté internationale a compris depuis longtemps, que seuls les intérêts économiques comptent dans les conflits lybien (pour le pétrole), ivoirien (pour le cacao, l’uranium, le bois et le marché juteux de l’eau (que bolloré veut se réserver), etc. Cette fébrilité cocaïnée, cette agitation compulsive, cette avalanche de lieux communs pour donner l’illusion d’une action bien évaluée, pensée et engagée, ça ne vous rappelle personne ?

Un pitre dans les fonctions de rédac chef, le symbole de l’hexagone c’est vraiment devenu le régime de banane.

Roro Ménard est un pion américain qui .......en dollars (de la CIA et des "milieux" de Miami). C’est le Vaclav Havel tricolore  : aussi peu crédible que l’autre.