c’est fascinant de constater que l’infiniment petit est lié à l’infiniment grand et de constater qu’on a autant de mal à atteindre l’un et l’autre même par la pensée...ce qui fait de nous tous des infiniment moyens !
conclusioni : on devrait faire l’économie du politique, tout simplement ! Comment, me direz vous ? Si vous refusez au peuple le pouvoir il le prendra de toutes façons, donc donnez le pouvoir au peuple par le portable dans une démocratie populaire numérique. Point !
Solidarité et progrès affichent leur ambition réellement pacifique et mondiale. Merci à vous. Monsieur Corbin insiste sur l’enjeu primordial que le privé exerce sur le public, enfin on peut dire contre le public. Le public est l’équipe qui marque les buts que laisse passer le président, le privé étend derrière lui un filet virtuel derrière lequel un nouveau ballon devient à vendre...A la fin de la partie tout le monde paye pour la passoire que le privé encourage avidement. Le Glass Steagall, c’est la fin de la partie pour ceux qui truquent les règles du jeu à leur profit absolu et infini, je dis " oui ".
deux citations à propos de l’édition : " à force de ne rien trouver de passionnant à lire...j’ai fini par écrire " et..." tout a déjà été écrit, mais comme n’entrave, il faut sans cesse rabâcher " Vous dites " passer son temps à lire les livres des autres, quand on sait le temps que ça prend d’écrire les siens " on peut considérer qu’un auteur qui franchit la marche de la tribune médiatique peut enfin cesser d’écrire et d’ailleurs c’est pas un mal dans le cas de Yann Moax...et d’ailleurs, écrire apporte l’énorme privilège d’arrêter enfin de bavasser.