Les directeurs de théâtres locaux, valaisans, sont contaminés par la Licra ainsi que la fièvre des censeurs de France . Pas de quoi être fier d’être suisse quand on lit que ces directeurs de théâtre sont aussi cons que leurs collègues français, pas à dire, la connerie c’est contagieux, et tel le nuage de tchernobyl, ne s’arrête pas aux frontières faute de visa, mais contamine le genre humain, sans tenir compte des nationalités, des religions ou de la couleur de peau, la lâcheté, soeur de la connerie, aussi est contagieuse. . Extraits :
Propos sous le coup de la loi
« C’est clair que je ne mettrais jamais Dieudonné à l’affiche dans la
saison culturelle. Les propos qu’il tient dans ce spectacle sont aux
antipodes de ce que je programme », note François Marin, directeur du
théâtre de Valère. Pour lui, sa décision est d’autant plus définitive
que Dieudonné « n’a pas fait un dérapage, mais qu’il réitère ses propos
racistes, qui sont sous le coup de la loi. »
François Marin ajoute que ce n’est pas Dieudonné comme personne qu’il
refuse de programmer, mais son spectacle « Le Mur ». « Dans ce
spectacle-là, il y a des propos nauséabonds, comme j’ai pu le voir dans
des extraits. Cela ne correspond pas à mon idée du théâtre. C’est une
question de respect pour le public. »
Même avis tranché pour Philippe Morand, directeur de l’Alambic, à
Martigny. Lui non plus ne programmerait pas Dieudonné dans son théâtre.
« Je ne suis pas contre les humoristes, j’en ai d’ailleurs reçu de
nombreux, mais je ne pourrai pas recevoir quelqu’un dont les propos sont
antisémites. Cet artiste tient des propos que personne n’oserait tenir,
même au bistrot. (doit pas souvent aller au bistrot ndLoki) La législation est claire à ce sujet », explique-t-il.
Pour Philippe Morand, la liberté d’expression a ainsi des limites qu’il
« ne transgresserait pas dans ce domaine. »
.
Affligeant... C’est pourquoi cette farce absurde, cette mascarade hypocrite, le résultat de propagande mensongère, ce festival de tromperies doivent cesser car on est tous concernés, y compris dans notre Suisse pourtant en dehors de l’UE mais oh combien soumise au lobby qui n’existe pas, et bien sûr, aux banques, cela va de soit, pas de quoi tirer une quelconque fierté de ce terreau là. Je retiens les noms de ces directeurs de théâtre, car si besoin était, ils sont beaucoup plus facilement joignables pour moi qu’un Barbier, un Haziza, un BHL... Et que je range provisoirement, dans la même catégorie. A bon entendeur.
BHL je l’avais identifié dès 1987, j’étais jeune, y avait ni Soral ni Dieudo, je me disais déjà que ce mec il allait pas faire long feu dans les médias... Aujourd’hui il en a les clés, il dit qui doit y passer et qui ne doit pas y passer, il donne des ordres aux présidents, déclenche des guerres sans les aimer au nom de l’humanisme de gauche, parce que c’est bon pour Israël, si j’avais pu imaginer comme je me trompais de compter sur le bon sens de la majorité, heureusement que l’on ne peut voir l’avenir, sans ça c’est à se demander parfois si il vaut la peine de le vivre, oui dans le sens de pouvoir contempler jusqu’où va t’on descendre, mais si on comptait sur un avenir radieux et rose, il n’y a qu’Hollande face à Netanyahou qui peut encore faire semblant d’avoir cette illusion...
L’extrait ci dessus n’est pas celui où il appelle au meurtre de Dieudo, mais un autre où il frise l’apoplexie, allant à traiter son partenaire de débat, plus mesuré, de révisionniste, la vieillesse est un naufrage, titanesque dans le cas de tesson qui touche le fond et boit la bouteille de son vinaigre aigre jusqu’à la lie
Idem, Machiavel1983, normalement ça devrait couler de source, mais on est dans un monde où on arrive à devoir se justifier de ne pas être un fan d’Adolf parce qu’on rit à tels ou tels propos ou se laisser aller à faire un geste potache.. Mais où va le monde ? Je ne sais pas mais la France y va tout droit.