Bonjour Oursquipense : . N’ayant pas lu Céline non plus, quelques bribes ici ou là, mais connaissant un peu son parcours d’homme, cette phrase : et dont ils rend les juifs responsables au premier chef (c’est là que
réside son antisémitisme, pour lui toute la société finit par être
influencée par des juifs). Je pense que si on est honnête on ne peut que constater sa réalité, Cohn-Bendit et 68, Trotski et la révolution russe, la clique des clones de BHL qui sévit dans les médias internationaux et nationaux, hollywood, Goldman Sachs et dérivés, industrie pornographique, trafic d’organe, penchants et prédispositions pour la pédophilie et les sexualités déviantes, dont on fait la promotion et qu’on encourage... etc la liste des faits est longue et accrédite le sens de cette phrase, pour les observateurs du déroulement historique. . Car si on connait un peu le parcours de Céline qui devait être un humaniste avant de baisser les bras par déceptions successives quand à la marche et au fonctionnement sous influence de l’humanité, et si on écoute la rubrique les antisémites du mois de Soral, on se rend bien compte que la "question juive" est au coeur de bien des périodes troubles de l’histoire, ce qui explique certainement le fait que régulièrement ils se font dérouiller quand le peuple indigène en a marre de se faire piller et manipuler par des idéaux qui ne sont pas les siens, et qui sont de surcroit destructeurs et anti vie, et bien on en arrive à la conclusion que les hommes de bonne volonté, de Jésus à Dieudonné en passant par les intellectuels du passé et contemporains qui essaient de garder un regard objectif sur le déroulement des évènements, on s’aperçoit que ces gens à qui on a pas grand chose à reprocher si ce n’est de dire une certaine vérité, et de les ranger dans la case des monstres pour éviter de faire face à cette réalité, sont systématiquement broyés et mis au ban de la bienpensance, allant même jusqu’à leur ôter droit de réponse et droit de débattre, dans un modèle que certains osent encore nommer démocratique. Pas de liberté aux ennemis de la liberté, ha oui mais de quelle liberté on parle ? Celle de se faire tondre, insulter, nier, dénigrer, mépriser et dépouiller sans mot dire ? . Juste garder en tête et ne pas oublier de préciser que le terme "des juifs" n’est pas tout à fait approprié car les gens dont on parle n’ont plus grand chose de commun avec le judaïsme malgré le fait qu’ils s’en revendiquent comme une identité propre, laïque ou athée, ce qui ne veut plus rien dire, la perversion du langage est je crois une des principales causes du confusionnisme ambiant volontairement entretenu par ceux qui brouillent les cartes depuis que la civilisation est apparue. . Au commencement était le verbe, et regardons ce qu’il est advenu de ce verbe aujourd’hui, les mots ont été vidés de leur substance, de leur charge émotionnelle, ont été tordus de leur sens premier, détournés pour en devenir l’inverse par des manipulations quotidiennes de déformations linguistiques depuis des décennies. Phénomène qui s’accentue et aura tendance à s’aggraver avec le langage informatique ou numérique, genre textos, tweeter, puisque l’on peut interpréter n’importe quelle phrase en lui donnant le contexte émotionnel que l’on veut puisque l’on a pas l’interlocuteur en face et on ne peut que juste deviner l’intention de base de celui qui écrit tel ou tel propos. On ne saisit plus la nuance entre l’ironie, le premier degré ou la plaisanterie, sauf si on y met ces émoticônes censées remplacer l’expression faciale afin de reconnaître le sens, l’humeur, contenus dans un message virtuel. Donc c’est open bar à tous les procès d’intention quand on veut discréditer quelqu’un, c’est pas nouveau mais ça ira en empirant.
J’attendais que Taddéï dise que Patrick Cohen invite des repris de justice qui sont pourtant au gouvernement, pour couper l’argument de sous les pieds de cette petite effrontée ridicule, des gens condamnés pour incitation à la haine raciale également, Hortefeux, Guéant etc.. Harlem Désir, Juppé, Fabius... Ce sont des truands d’un autre calibre que des Soral ou Dieudonné qui eux, sont condamnés au nom d’une loi inique et surtout par inversion accusatoire, puisque quelqu’un qui finit ses spectacles par aimez vous les uns les autres, se voit taxé de promoteur de la haine, faudra qu’on s’y fasse à marcher les pieds au plafond et la tête en bas, car au lieu d’un geste inversé, c’est tout le système qui est devenu inversement proportionnel à ses rôles de départ, droits de l’homme, démocratie, et mon Q sur la Qommode.
Ni pardon ni oubli, c’est leur devise, je n’aime pas particulièrement Nabe, je n’ai quasiment rien lu de lui, humainement il me paraît juste comme une sorte de dandy grotesque mais Frèche revient sans cesse au Régal des Vermines, qui a été écrit il y a 30 ans. Ni pardon, ni oubli, pas très catholique comme devise, pourrait on lutter avec notre charité chrétienne dans laquelle nous avons, pour beaucoup d’entre nous, été élevés ? On va peut être commencer par cesser de tendre la joue gauche et se mettre à multiplier les pains dans la gueule à notre tour, ou pas ?
"oui la vie est longue" . J’ai remarqué aussi et ressenti presque comme une sorte de menace voilée à l’encontre de Taddéï, hallucinant, à sa place, j’aurais perdu mon calme face à cette petite peste qui ne mériterait qu’une paire de gifles façon Ventura.
J’ai été particulièrement déçu par Maïtena Biraben, cette petite suissesse qui a commencé sa carrière assez bien d’ailleurs, elle apportait une touche de fraïcheur à l’austère TSR avec un peu d’impertinence naïve. . Là, je me suis dit putain, soit elle est gonflée à la coke, soit elle est en service commandé, d’autant plus qu’intellectuellement elle est loin d’être taillée pour ce job là, je salue juste la patience et le zen d’un Taddéï face à cette inquisitrice sous amphétamines, si mal à l’aise, c’était visible, nerveuse à outrance, suintant presque une haine qui n’est pas la sienne, qu’elle devait se forcer à jouer la méchante policière tant elle ne devait pas comprendre elle même de quoi elle parlait. . Canal+ détruit tout, même les talents-tueuses petites suissesse parties chercher amour, gloire et beauté en montant à Paris, la ville de tous les possibles, sous le strass et les paillettes, la plage ou le cimetière ?