Immigration ou pas, c’est dans vos ghettos pourris qu’elle a fait ses classes, débrouillez-vous avec. Et si vous voulez être justes (je ne pense pas que vous en soyez capables) remémorez-vous leurs parents arrivés la tête baissée et plein d’humilité pour travailler et rentrer ensuite au pays, des gens respectables et discrets qui se tenaient droits et n’avaient jamais un mot plus haut que l’autre, et leur progéniture, ou la progéniture de leur progéniture, pour vous rendre compte de ce que produit cette société libérale, une démolition en règle de la civilité. Encore une fois, c’est votre racaille, réglez votre problème, la civilisation islamique n’a joué aucun rôle dans cette courte page de votre histoire. Même les (mal-nommés) salafistes en bombers sont avant tout chose vos produits, sur votre sol tout produit se développe grâce à votre terreau, votre terre, votre engrais et votre climat. Les bons comme les moins bons. Bon courage.
La racaille pourtant, tu l’identifies à l’immigration, non ? Il s’agit bien d’un fruit de l’immigration de masse, non ? Cette violence propre à la racaille, est soit vieille comme le monde (donc il n’y a pas à la distinguer, comme tu sembles le dire, et donc elle se nomme simplement "violence"), soit elle a un lien avec l’environnement actuel, à base de citoyen du monde, de touche-pas-mon-potisme, d’antiracisme institutionnel et de volonté de supprimer les différences, pour le blanc émasculé, d’un côté, et de l’autre l’impunité, l’idéologie du "crime paie", de célébration de l’argent facile du wesh-wesh. Et évidemment le "wesh-wesh" n’est pas apparu spontanément, il est devenu une mine d’or à exploiter pour certains, politiques et industriels ont compris. De l’expression verbale et légitime d’une violence quotidienne subie, dans les années 80-90, et qui aurait du être entendue et écoutée à l’époque, parce qu’elle était encore maitrisable, nous en sommes arrivés à la glorification sans limite du sexe et de la violence, le lessivage, la récupération et la digestion par le Marché de la "culture" de rue s’est produit pour la simple et bonne raison que vos politiques n’avaient aucune réponse à apporter. Cette racaille est la vôtre, à vous français, qu’elle soit d’origine maghrébine ou sub-saharienne, vous avez mis cette population dans les meilleurs conditions pour pouvoir vous en plaindre des décennies plus tard. Ce pays est à vous, et tout ce qu’il s’y passe est à mettre à votre compte. Réglez vos différends comme vous l’entendez, mais la civilisation islamique n’a rien à voir avec vos bisbilles nationales.
"je suis que si Hitler était la aujourdhui il se serait
intéressé à l’idée de Chouard ; et Chouard aurait essayé de discuter
avec lui pour le convaincre !"
Guerre de civilisation entre sous-produits culturels ? La racaille américanisée et le blanc émasculé sont pourtant du même rayon, c’est la même marque, le même fabricant, le même distributeur, tout droit sorti de la matrice libérale. Ce monsieur semble avoir été "perturbé" à un moment de sa vie, mais ce n’est pas une raison, la racaille appartient totalement à la civilisation libérale, c’est un énième fruit pourri. Qu’il appelle un chat un chat. La guerre civile qu’il voit venir, comme d’autres, n’est pas un choc des civilisation. Ce monsieur n’a rien à faire avec un micro dans les mains, ou alors seulement devant son karaoké. La France a créé ses ghettos, le libéralisme créé la violence, la misère et donc les tensions sociales, le politique montre du doigt les boucs-émissaires, et la masse se laisse porter par les vagues.
Et mangez des pommes aussi ? Comment veux-tu arrêter le repli communautaire dans des ghettos que l’on dirait imaginés et peuplés expressement pour, Einstein ?